Jours de manif à L.A.

Par : Suf Marenda

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  • Nombre de pages56
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.044 kg
  • Dimensions10,0 cm × 15,0 cm × 0,5 cm
  • ISBN979-10-93160-42-9
  • EAN9791093160429
  • Date de parution22/03/2020
  • Collection#oneshot
  • ÉditeurVanloo

Résumé

Jours de manifs à L. A. s'inscrit dans la pure tradition de la poésie de voyage, de Ronsard à Du Bellay, de Cendrars à Segalen. La découverte avec des yeux réels d'un lieu lointain mais mythique, c'est-à-dire faisant corps avec votre l'imaginaire. L'auteur est le naïf. Il va voir des expos, prend des taxis, tourne dans Los Angeles, va chez les gens, analyse leurs bibliothèques, terrifiant ! ici rien n'est fait pour lui.
Il devient anthropologue d'une violence jusqu'alors de lui inconnue. Puis il devient politologue de l'humain très humain : à L. A. Il faudrait changer quelque chose, en France on ferait des manifs, mais à L. A. avec qui peut-on manifester ? Tout le monde s'en fout ! Le Français pose alors la question : Mais comment peut-on être Los Angelais ? Ce qu'il voit n'est donc pas ce qu'il aurait voulu voir.
Et c'est tant mieux. Il prend des accents de la musique même pour des mots ! Il prend des sons de là-bas et les balbutie en mots : ça devient la langue étrange de l'ailleur
Jours de manifs à L. A. s'inscrit dans la pure tradition de la poésie de voyage, de Ronsard à Du Bellay, de Cendrars à Segalen. La découverte avec des yeux réels d'un lieu lointain mais mythique, c'est-à-dire faisant corps avec votre l'imaginaire. L'auteur est le naïf. Il va voir des expos, prend des taxis, tourne dans Los Angeles, va chez les gens, analyse leurs bibliothèques, terrifiant ! ici rien n'est fait pour lui.
Il devient anthropologue d'une violence jusqu'alors de lui inconnue. Puis il devient politologue de l'humain très humain : à L. A. Il faudrait changer quelque chose, en France on ferait des manifs, mais à L. A. avec qui peut-on manifester ? Tout le monde s'en fout ! Le Français pose alors la question : Mais comment peut-on être Los Angelais ? Ce qu'il voit n'est donc pas ce qu'il aurait voulu voir.
Et c'est tant mieux. Il prend des accents de la musique même pour des mots ! Il prend des sons de là-bas et les balbutie en mots : ça devient la langue étrange de l'ailleur