Journées de lecture. Tome 2, 1951-1962

Par : Roger Nimier
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  • Nombre de pages288
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.445 kg
  • Dimensions14,6 cm × 21,5 cm × 2,8 cm
  • ISBN2-07-073384-X
  • EAN9782070733842
  • Date de parution12/04/1995
  • CollectionBlanche
  • ÉditeurGallimard

Résumé

«Les écrivains que nous venons de découvrir nous paraissent adolescents, à plus forte raison vivants.» Sous l'invocation de Marcel Proust, le critique de Journées de lecture nous rend présents Stendhal, Cioran ou Céline («Un classique, un ! ... la littérature française est servie»), comme si le lecteur était toujours l'acteur, sinon l'auteur, du livre qu'il tient entre les mains. Ainsi ces «journées» des années cinquante rejoignent les nôtres.
D'autres phrases, elles, mettent en garde : «Dans une mode littéraire, il y a surtout un grand nombre de personnes qui détestent la littérature.» Les livres qui importent n'ont pas d'âge. Un tel acte de foi ne vaut que par l'extrême liberté. Roger Nimier n'étant pas de ceux qui chérissent la convention, la littérature est déclarée ville ouverte. «Il n'y a pas de dignité des genres, écrit-il encore.
La littérature est une substance maligne qui se glisse partout, sans prévenir, et s'en va comme elle veut.» Elle est ici dans l'humour, les fléchettes, la haine de l'ennui. Elle est dans le jugement mesuré comme dans le paradoxe. Nimier peut récrire La Princesse de Clèves avec la plume de Peter Cheyney et Simenon avec celle de Simenon, rêver quelques pages sur la première phrase d'un roman, prolonger via Maupassant la compagnie amicale de Paul Morand, jauger de Gaulle, Pierre Benoit ou Maurice Blanchot.
Si certains des cinquante écrivains rassemblés provoquent plus la dispute que l'admiration ou la complicité, ils sont encore de la famille.
«Les écrivains que nous venons de découvrir nous paraissent adolescents, à plus forte raison vivants.» Sous l'invocation de Marcel Proust, le critique de Journées de lecture nous rend présents Stendhal, Cioran ou Céline («Un classique, un ! ... la littérature française est servie»), comme si le lecteur était toujours l'acteur, sinon l'auteur, du livre qu'il tient entre les mains. Ainsi ces «journées» des années cinquante rejoignent les nôtres.
D'autres phrases, elles, mettent en garde : «Dans une mode littéraire, il y a surtout un grand nombre de personnes qui détestent la littérature.» Les livres qui importent n'ont pas d'âge. Un tel acte de foi ne vaut que par l'extrême liberté. Roger Nimier n'étant pas de ceux qui chérissent la convention, la littérature est déclarée ville ouverte. «Il n'y a pas de dignité des genres, écrit-il encore.
La littérature est une substance maligne qui se glisse partout, sans prévenir, et s'en va comme elle veut.» Elle est ici dans l'humour, les fléchettes, la haine de l'ennui. Elle est dans le jugement mesuré comme dans le paradoxe. Nimier peut récrire La Princesse de Clèves avec la plume de Peter Cheyney et Simenon avec celle de Simenon, rêver quelques pages sur la première phrase d'un roman, prolonger via Maupassant la compagnie amicale de Paul Morand, jauger de Gaulle, Pierre Benoit ou Maurice Blanchot.
Si certains des cinquante écrivains rassemblés provoquent plus la dispute que l'admiration ou la complicité, ils sont encore de la famille.
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