Prix Clarens du Journal Intime

Journées 1925-1944

Par : Georges Séféris
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  • Nombre de pages820
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.705 kg
  • Dimensions13,5 cm × 20,5 cm × 3,1 cm
  • ISBN978-2-35873-170-6
  • EAN9782358731706
  • Date de parution19/11/2021
  • ÉditeurBruit du temps (Le)
  • TraducteurGilles Ortlieb

Résumé

"Où que me porte mon voyage, la Grèce est ma blessure", écrivait Georges Séféris dans un de ses poèmes les plus célèbres. Accéder, un demi-siècle après la mort de leur auteur en 1971, aux pages de ces Journées, enfin traduites intégralement en français, c'est en comprendre les raisons. Séféris, né à Smyrne en 1900 et entré très tôt dans le corps diplomatique, fut attaché sa vie durant au ministère des Affaires étrangères.
Nous découvrons, par les yeux d'un homme qui en aura été le témoin et parfois un acteur de premier plan, ce que fut véritablement l'histoire de la Grèce de ces années 1925-1944 - de l'exode qui fit suite à la "Catastrophe" de 1922 jusqu'à la guerre civile. Nous le suivons dans ses exils successifs à Londres, en Albanie, en Crète, en Egypte, en Afrique du Sud, à Jérusalem, en Italie, au gré des événements dont il se fait le chroniqueur, avec une lucidité et un art de l'observation dignes du Hugo de Choses vues, tout en conservant à ce journal, avec ses interrogations, ses havres et ses écueils, sa part intime.
Celle qui le montre s'obstinant à rechercher - quelles que soient les circonstances - "l'expression la plus juste, comme une corde tendue", dans une oeuvre de poète et d'essayiste qui lui vaudra en 1963 le prix Nobel de littérature.
"Où que me porte mon voyage, la Grèce est ma blessure", écrivait Georges Séféris dans un de ses poèmes les plus célèbres. Accéder, un demi-siècle après la mort de leur auteur en 1971, aux pages de ces Journées, enfin traduites intégralement en français, c'est en comprendre les raisons. Séféris, né à Smyrne en 1900 et entré très tôt dans le corps diplomatique, fut attaché sa vie durant au ministère des Affaires étrangères.
Nous découvrons, par les yeux d'un homme qui en aura été le témoin et parfois un acteur de premier plan, ce que fut véritablement l'histoire de la Grèce de ces années 1925-1944 - de l'exode qui fit suite à la "Catastrophe" de 1922 jusqu'à la guerre civile. Nous le suivons dans ses exils successifs à Londres, en Albanie, en Crète, en Egypte, en Afrique du Sud, à Jérusalem, en Italie, au gré des événements dont il se fait le chroniqueur, avec une lucidité et un art de l'observation dignes du Hugo de Choses vues, tout en conservant à ce journal, avec ses interrogations, ses havres et ses écueils, sa part intime.
Celle qui le montre s'obstinant à rechercher - quelles que soient les circonstances - "l'expression la plus juste, comme une corde tendue", dans une oeuvre de poète et d'essayiste qui lui vaudra en 1963 le prix Nobel de littérature.
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