Journalistes algériens 1988-1998. Chroniques des années d’espoir et de terreur

Par : Lazhari Labter
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  • Nombre de pages240
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.238 kg
  • Dimensions15,2 cm × 23,4 cm × 1,5 cm
  • ISBN9961-63-544-2
  • EAN9789961635445
  • Date de parution22/06/2006
  • ÉditeurChihab éditions

Résumé

La guerre sans merci que les terroristes intégristes ont mené en 1993 et 1997 contre les journalistes s'est soldée par un bilan effarant que nul autre pays que l'Algérie n'a connu à ce jour : près d'une centaine de journalistes et travailleurs de médias assassinés. Depuis l'attentat meurtrier commis contre le journaliste et écrivain Tahar Djaout le 26 mai 1993, les terroristes ont mis en application, de manière systématique, un programme d'épuration des membres de la famille journalistique résumé par le sinistre slogan des groupes islamiques armés : " Ceux qui nous combattent par la plume périront par la lame ".
Le summum de l'horreur fut atteint le 11 février 1996 lors de l'attaque à la voiture piégée de la Maison de la Presse Tahar Djaout qui la détruisit en grande partie. Cette attaque commise en plein mois de ramadhan couta la vie à trois journalistes du quotidien Le Soir d'Algérie dont les locaux furent entièrement soufflés. Elle causa aussi la mort de plusieurs citoyens de passage à la rue Hassiba Ben Bouali.
Cette attaque visait à anéantir le moral des journalistes pour les amener à cesser de pratiquer leur devoir d'informer.
La guerre sans merci que les terroristes intégristes ont mené en 1993 et 1997 contre les journalistes s'est soldée par un bilan effarant que nul autre pays que l'Algérie n'a connu à ce jour : près d'une centaine de journalistes et travailleurs de médias assassinés. Depuis l'attentat meurtrier commis contre le journaliste et écrivain Tahar Djaout le 26 mai 1993, les terroristes ont mis en application, de manière systématique, un programme d'épuration des membres de la famille journalistique résumé par le sinistre slogan des groupes islamiques armés : " Ceux qui nous combattent par la plume périront par la lame ".
Le summum de l'horreur fut atteint le 11 février 1996 lors de l'attaque à la voiture piégée de la Maison de la Presse Tahar Djaout qui la détruisit en grande partie. Cette attaque commise en plein mois de ramadhan couta la vie à trois journalistes du quotidien Le Soir d'Algérie dont les locaux furent entièrement soufflés. Elle causa aussi la mort de plusieurs citoyens de passage à la rue Hassiba Ben Bouali.
Cette attaque visait à anéantir le moral des journalistes pour les amener à cesser de pratiquer leur devoir d'informer.