Journalisme et littérature dans la gauche des années 1930
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- Nombre de pages248
- PrésentationBroché
- Poids0.4 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-7535-3523-7
- EAN9782753535237
- Date de parution12/12/2014
- CollectionHistoire
- ÉditeurPU Rennes
Résumé
J A gauche des années 1930. Vaste question, à laquelle cet ouvrage n'a pas la prétention de répondre, mais dont l'ambition est en revanche de faire progresser la recherche sur ce sujet. Il jette des ponts entre le journalisme et la littérature, deux aspects fondamentaux de cette période. Difficile, en ces années, de séparer l'art de l'engagement, car la bipolarisation idéologique s'accentue avec de plus en plus de force au cours de la décennie.
Si la gauche est d'abord communiste, où elle exerce son influence par l'entremise de l'AEAR, de la revue Commune et des Editions Sociales Internationales, elle est néanmoins plurielle, et sa diversité est riche. Des socialistes "orthodoxes" de la SFIO à son aile gauche, en passant par les trotskystes, des syndicalistes révolutionnaires aux pacifistes en passant par les différentes "tendances" du mouvement anarchiste, d'autres intellectuels réfléchissent sur la culture, sur la littérature, se battent contre le fascisme.
Le journalisme comme la littérature sont en prise avec cette bipolarisation du monde : nombre de parcours d'écrivains et d'écrits sont conditionnés par celle-ci, nombre de périodiques en verront leur itinéraire influencé. Si les oeuvres prennent parti, la réflexion et le débat sont en majeure partie représentés par la presse. En dehors d'elle, difficile d'exister, de penser ; de la "petite" revue d'extrême gauche au rouleau compresseur communiste en passant par les feuilles et autres journaux socialistes, l'époque recèle des trésors.
Si la gauche est d'abord communiste, où elle exerce son influence par l'entremise de l'AEAR, de la revue Commune et des Editions Sociales Internationales, elle est néanmoins plurielle, et sa diversité est riche. Des socialistes "orthodoxes" de la SFIO à son aile gauche, en passant par les trotskystes, des syndicalistes révolutionnaires aux pacifistes en passant par les différentes "tendances" du mouvement anarchiste, d'autres intellectuels réfléchissent sur la culture, sur la littérature, se battent contre le fascisme.
Le journalisme comme la littérature sont en prise avec cette bipolarisation du monde : nombre de parcours d'écrivains et d'écrits sont conditionnés par celle-ci, nombre de périodiques en verront leur itinéraire influencé. Si les oeuvres prennent parti, la réflexion et le débat sont en majeure partie représentés par la presse. En dehors d'elle, difficile d'exister, de penser ; de la "petite" revue d'extrême gauche au rouleau compresseur communiste en passant par les feuilles et autres journaux socialistes, l'époque recèle des trésors.
J A gauche des années 1930. Vaste question, à laquelle cet ouvrage n'a pas la prétention de répondre, mais dont l'ambition est en revanche de faire progresser la recherche sur ce sujet. Il jette des ponts entre le journalisme et la littérature, deux aspects fondamentaux de cette période. Difficile, en ces années, de séparer l'art de l'engagement, car la bipolarisation idéologique s'accentue avec de plus en plus de force au cours de la décennie.
Si la gauche est d'abord communiste, où elle exerce son influence par l'entremise de l'AEAR, de la revue Commune et des Editions Sociales Internationales, elle est néanmoins plurielle, et sa diversité est riche. Des socialistes "orthodoxes" de la SFIO à son aile gauche, en passant par les trotskystes, des syndicalistes révolutionnaires aux pacifistes en passant par les différentes "tendances" du mouvement anarchiste, d'autres intellectuels réfléchissent sur la culture, sur la littérature, se battent contre le fascisme.
Le journalisme comme la littérature sont en prise avec cette bipolarisation du monde : nombre de parcours d'écrivains et d'écrits sont conditionnés par celle-ci, nombre de périodiques en verront leur itinéraire influencé. Si les oeuvres prennent parti, la réflexion et le débat sont en majeure partie représentés par la presse. En dehors d'elle, difficile d'exister, de penser ; de la "petite" revue d'extrême gauche au rouleau compresseur communiste en passant par les feuilles et autres journaux socialistes, l'époque recèle des trésors.
Si la gauche est d'abord communiste, où elle exerce son influence par l'entremise de l'AEAR, de la revue Commune et des Editions Sociales Internationales, elle est néanmoins plurielle, et sa diversité est riche. Des socialistes "orthodoxes" de la SFIO à son aile gauche, en passant par les trotskystes, des syndicalistes révolutionnaires aux pacifistes en passant par les différentes "tendances" du mouvement anarchiste, d'autres intellectuels réfléchissent sur la culture, sur la littérature, se battent contre le fascisme.
Le journalisme comme la littérature sont en prise avec cette bipolarisation du monde : nombre de parcours d'écrivains et d'écrits sont conditionnés par celle-ci, nombre de périodiques en verront leur itinéraire influencé. Si les oeuvres prennent parti, la réflexion et le débat sont en majeure partie représentés par la presse. En dehors d'elle, difficile d'exister, de penser ; de la "petite" revue d'extrême gauche au rouleau compresseur communiste en passant par les feuilles et autres journaux socialistes, l'époque recèle des trésors.