Journal intime 1894-1895
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- Nombre de pages514
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.536 kg
- Dimensions14,1 cm × 20,6 cm × 3,7 cm
- ISBN978-2-84100-589-5
- EAN9782841005895
- Date de parution18/02/2016
- ÉditeurBartillat
- PréfacierJean-Paul Goujon
Résumé
Ce Journal couvre les années 1894-1895. Tinan vient d'avoir vingt ans, mais il fait déjà preuve d'une extraordinaire maîtrise de la langue française. Son journal note au jour le jour ses états d'âme, ses épanchements, ses rencontres littéraires ou sentimentales. Avec un rare talent de dilettante, il fait défiler devant nous toute une galerie de jeunes filles ou femmes assez dissemblables, exprimant chacune une pulsion de Tinan : Edith, l'amour sentimental ; Bessie, la pure sensualité charnelle ; Marie Sienkeiwicz, la simple attraction ; Blanche-Marcelle et Dora, la sexualité mêlée à la sentimentalité ; Phanette, le sexe et l'intellect ; Marguerite, le béguin de la femme mariée, plus quelques passantes aperçues de loin, comme une certaine Juliette d'Ermonville.
De temps en temps, on voit l'écrivain s'éprendre d'un tendre intérêt pour de petites filles, qui incarnent à ses yeux une féminité chimérique, affranchie de toute sexualité. Tinan n'aura que trois années à vivre après la rédaction de cette partie du Journal. La seconde partie est inaccessible, si elle n'a pas été détruite ou perdue.
De temps en temps, on voit l'écrivain s'éprendre d'un tendre intérêt pour de petites filles, qui incarnent à ses yeux une féminité chimérique, affranchie de toute sexualité. Tinan n'aura que trois années à vivre après la rédaction de cette partie du Journal. La seconde partie est inaccessible, si elle n'a pas été détruite ou perdue.
Ce Journal couvre les années 1894-1895. Tinan vient d'avoir vingt ans, mais il fait déjà preuve d'une extraordinaire maîtrise de la langue française. Son journal note au jour le jour ses états d'âme, ses épanchements, ses rencontres littéraires ou sentimentales. Avec un rare talent de dilettante, il fait défiler devant nous toute une galerie de jeunes filles ou femmes assez dissemblables, exprimant chacune une pulsion de Tinan : Edith, l'amour sentimental ; Bessie, la pure sensualité charnelle ; Marie Sienkeiwicz, la simple attraction ; Blanche-Marcelle et Dora, la sexualité mêlée à la sentimentalité ; Phanette, le sexe et l'intellect ; Marguerite, le béguin de la femme mariée, plus quelques passantes aperçues de loin, comme une certaine Juliette d'Ermonville.
De temps en temps, on voit l'écrivain s'éprendre d'un tendre intérêt pour de petites filles, qui incarnent à ses yeux une féminité chimérique, affranchie de toute sexualité. Tinan n'aura que trois années à vivre après la rédaction de cette partie du Journal. La seconde partie est inaccessible, si elle n'a pas été détruite ou perdue.
De temps en temps, on voit l'écrivain s'éprendre d'un tendre intérêt pour de petites filles, qui incarnent à ses yeux une féminité chimérique, affranchie de toute sexualité. Tinan n'aura que trois années à vivre après la rédaction de cette partie du Journal. La seconde partie est inaccessible, si elle n'a pas été détruite ou perdue.