Journal de Police. Tome 2, 1734-1746

Par : Pierre Narbonne

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  • Nombre de pages340
  • PrésentationBroché
  • Poids0.43 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 2,8 cm
  • ISBN2-913944-60-4
  • EAN9782913944602
  • Date de parution01/01/2002
  • CollectionSources histoire de France
  • ÉditeurPaléo

Résumé

Des trafiquants de ferrures à la naissance des enfants de France, en passant par les éclairages publics, les fontaines, les foires, le prix du pain, les bals et les bordels, les réceptions étrangères et les bons mots du roi, le journal de Pierre Narbonne est la description vivante de la vie quotidienne des français au XVIIIe siècle. Premier commissaire de police de Versailles, Narbonne était des mieux placés pour connaître les multiples facettes de la société des lumières. Volontiers espiègle, son sens de la narration rend à ses écrits un pittoresque bien savoureux. La mère, qui était encore d'un âge à conter la galanterie, & ses deux filles aînées, très jolies, attirèrent chez elles plusieurs chevau-légers, dont une partie de la profession est d'en conter aux femmes & aux filles qui veulent bien les écouter. Cependant le bruit courut à Paris que la peste était à Versailles... Coche, valet de chambre de M. le duc d'Orléans, régent du royaume, allait souvent chez Quoniam, rôtisseur à la porte de Paris, qui avait épousé la fille d'un nommé Cottereau, pâtissier à Paris... Le sieur de Voltaire, si fameux comme auteur de quantité d'ouvrages (entre autres les Lettres philosophiques, qui mériteraient d'être brûlées & dont l'auteur devrait être enfermé le reste de ses jours), vint à Versailles...
Des trafiquants de ferrures à la naissance des enfants de France, en passant par les éclairages publics, les fontaines, les foires, le prix du pain, les bals et les bordels, les réceptions étrangères et les bons mots du roi, le journal de Pierre Narbonne est la description vivante de la vie quotidienne des français au XVIIIe siècle. Premier commissaire de police de Versailles, Narbonne était des mieux placés pour connaître les multiples facettes de la société des lumières. Volontiers espiègle, son sens de la narration rend à ses écrits un pittoresque bien savoureux. La mère, qui était encore d'un âge à conter la galanterie, & ses deux filles aînées, très jolies, attirèrent chez elles plusieurs chevau-légers, dont une partie de la profession est d'en conter aux femmes & aux filles qui veulent bien les écouter. Cependant le bruit courut à Paris que la peste était à Versailles... Coche, valet de chambre de M. le duc d'Orléans, régent du royaume, allait souvent chez Quoniam, rôtisseur à la porte de Paris, qui avait épousé la fille d'un nommé Cottereau, pâtissier à Paris... Le sieur de Voltaire, si fameux comme auteur de quantité d'ouvrages (entre autres les Lettres philosophiques, qui mériteraient d'être brûlées & dont l'auteur devrait être enfermé le reste de ses jours), vint à Versailles...