Journal de marche d'un fantassin allemand 1941-1945. "C'était ainsi"

Par : Hartmut Petri

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  • Nombre de pages369
  • PrésentationBroché
  • Poids0.645 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN2-296-01086-5
  • EAN9782296010864
  • Date de parution01/06/2006
  • CollectionHistoire de la défense
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierHélie de Saint-Marc
  • PréfacierAugust von Kageneck
  • TraducteurJacqueline Druesne

Résumé

Hartmut Petri se sentait depuis l'adolescence attiré par la nature. Il sera, après la guerre et plusieurs années d'études, ingénieur des eaux et forêts. Mais, il y aura eu auparavant la terrible épreuve de la campagne de Russie. Rien ne destinait ce garçon de vingt et un ans, mobilisé en octobre 1940, sensible à la nature, amateur de musique, issu de la bourgeoisie rhénane cultivée, à partir se battre dans de si terribles conditions où la chaleur, le froid sont insoutenables, où ses amis tombent les uns après les autres à ses côtés, où l'on se bat dans de sanglants corps-à-corps.
Ce soldat, plusieurs fois blessé, écrit dans son journal de marche " La radio déversa tout à coup sur moi une douceur indescriptible, incompréhensible qui me délivra, s'amplifia et m'arracha soudain à tout, au marécage, à la guerre " et réfléchit sans s'appesantir sur son sort : " D'une certaine façon, elles sont étranges et pleines de charme, ces heures à cheval sur minuit et le matin, entre combat et repos, entre guerre et paix, entre ciel et terre, entre rêve et réalité, entre vie et mort.
" Ces dernières années, Hartmut Petri a rouvert son journal de marche qui était dédié à ses camarades qui ne sont pas revenus, s'étonnant des questions des générations nouvelles qui l'interrogeaient avec curiosité : " Comment c'était la guerre ? " Il décidait alors de leur répondre par ces pages écrites au front : " Eh bien ! C'était ainsi ".
Hartmut Petri se sentait depuis l'adolescence attiré par la nature. Il sera, après la guerre et plusieurs années d'études, ingénieur des eaux et forêts. Mais, il y aura eu auparavant la terrible épreuve de la campagne de Russie. Rien ne destinait ce garçon de vingt et un ans, mobilisé en octobre 1940, sensible à la nature, amateur de musique, issu de la bourgeoisie rhénane cultivée, à partir se battre dans de si terribles conditions où la chaleur, le froid sont insoutenables, où ses amis tombent les uns après les autres à ses côtés, où l'on se bat dans de sanglants corps-à-corps.
Ce soldat, plusieurs fois blessé, écrit dans son journal de marche " La radio déversa tout à coup sur moi une douceur indescriptible, incompréhensible qui me délivra, s'amplifia et m'arracha soudain à tout, au marécage, à la guerre " et réfléchit sans s'appesantir sur son sort : " D'une certaine façon, elles sont étranges et pleines de charme, ces heures à cheval sur minuit et le matin, entre combat et repos, entre guerre et paix, entre ciel et terre, entre rêve et réalité, entre vie et mort.
" Ces dernières années, Hartmut Petri a rouvert son journal de marche qui était dédié à ses camarades qui ne sont pas revenus, s'étonnant des questions des générations nouvelles qui l'interrogeaient avec curiosité : " Comment c'était la guerre ? " Il décidait alors de leur répondre par ces pages écrites au front : " Eh bien ! C'était ainsi ".