Journal de Gouverneur Morris (1789-1792). Ministre plénipotentiaire des Etats-Unis en France

Par : Gouverneur Morris

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  • Nombre de pages393
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.195 kg
  • Dimensions10,9 cm × 17,8 cm × 1,9 cm
  • ISBN2-7152-2309-9
  • EAN9782715223097
  • Date de parution05/03/2002
  • CollectionLe Temps retrouvé
  • ÉditeurMercure de France

Résumé

Patriote et citoyen américain, homme de confiance de Washington, Gouverneur Morris est le principal rédacteur de la constitution d'outre-Atlantique. A ce titre, l'un des pères fondateurs des Etats-Unis. Chargé de mission par la jeune république américaine, il arrive à Paris au début de l'année 1789 et débute son journal en mars 1789 : récit de voyage, impressions intimes, chronique ironique des salons.
Si les marquises l'intéressent au plus haut point, bientôt il rencontre sa maîtresse la plus exigeante : la Révolution. Dès lors, Gouverneur Morris mêle chronique mondaine, journal d'un séducteur, carnet d'un diplomate et, surtout, récit des événements révolutionnaires. Il est toujours là où il faut être : de l'ouverture des Etats généraux à la chute de la royauté, le 10 août 1792. Grâce à son regard sans concession, souvent caustique, parfois épouvanté, il est sûrement l'un des chroniqueurs qui ont le mieux vu, senti et compris la Révolution française.
Patriote et citoyen américain, homme de confiance de Washington, Gouverneur Morris est le principal rédacteur de la constitution d'outre-Atlantique. A ce titre, l'un des pères fondateurs des Etats-Unis. Chargé de mission par la jeune république américaine, il arrive à Paris au début de l'année 1789 et débute son journal en mars 1789 : récit de voyage, impressions intimes, chronique ironique des salons.
Si les marquises l'intéressent au plus haut point, bientôt il rencontre sa maîtresse la plus exigeante : la Révolution. Dès lors, Gouverneur Morris mêle chronique mondaine, journal d'un séducteur, carnet d'un diplomate et, surtout, récit des événements révolutionnaires. Il est toujours là où il faut être : de l'ouverture des Etats généraux à la chute de la royauté, le 10 août 1792. Grâce à son regard sans concession, souvent caustique, parfois épouvanté, il est sûrement l'un des chroniqueurs qui ont le mieux vu, senti et compris la Révolution française.