Retraité de l'enseignement, Jean Le Cardinal, auteur de l'ouvrage Impressions d'enfance Alençon (1940-1947), s'intéresse à la Seconde Guerre mondiale et contribue à la publication de ce Journal de déportation d'Arthur Poitevin.
Journal de déportation. De Natzweiler-Struthof à Dachau
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- Nombre de pages120
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.18 kg
- Dimensions15,5 cm × 23,0 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-8151-0685-6
- EAN9782815106856
- Date de parution19/07/2023
- CollectionDes souvenirs et des hommes
- ÉditeurOREP Editions
- PréfacierJean Le Cardinal
Résumé
Né en 1917 dans une famille de marins pêcheurs de Port-en-Bessin, Arthur Poitevin perd la vue à 4 ans. Il reçoit le soutien providentiel d'un professeur d'Université, lui-même devenu aveugle à cet âge. Arthur suit alors les cours du conservatoire de Clermont-Ferrand avant de devenir professeur de violon et de piano. Il est également nommé titulaire de l'orgue de la paroisse Saint-Patrice à Bayeux.
Il s'engage ensuite dans la Résistance. Peu après son mariage en août 1943, il est arrêté et interné au Struthof dans l'Alsace annexée, puis à Dachau en septembre 1944. Il quitte le camp en mai 1945 et rédige à son retour ce Journal de déportation, décrivant la hantise du four crématoire, les privations et les souffrances, les séances d'Appel dans le froid, ainsi que les sévices endurés par les détenus ayant tenté l'évasion.
Révolté par la brutalité des SS et indigné par le laisser-aller de quelques détenus, c'est lui, tellement attaché à la fraternité et aux vertus chrétiennes, qui soutient les camarades en détresse. Témoignage unique d'un jeune musicien aveugle, confronté a l'horreur des camps de concentration, soutenu par un désir ardent de vivre.
Il s'engage ensuite dans la Résistance. Peu après son mariage en août 1943, il est arrêté et interné au Struthof dans l'Alsace annexée, puis à Dachau en septembre 1944. Il quitte le camp en mai 1945 et rédige à son retour ce Journal de déportation, décrivant la hantise du four crématoire, les privations et les souffrances, les séances d'Appel dans le froid, ainsi que les sévices endurés par les détenus ayant tenté l'évasion.
Révolté par la brutalité des SS et indigné par le laisser-aller de quelques détenus, c'est lui, tellement attaché à la fraternité et aux vertus chrétiennes, qui soutient les camarades en détresse. Témoignage unique d'un jeune musicien aveugle, confronté a l'horreur des camps de concentration, soutenu par un désir ardent de vivre.
Né en 1917 dans une famille de marins pêcheurs de Port-en-Bessin, Arthur Poitevin perd la vue à 4 ans. Il reçoit le soutien providentiel d'un professeur d'Université, lui-même devenu aveugle à cet âge. Arthur suit alors les cours du conservatoire de Clermont-Ferrand avant de devenir professeur de violon et de piano. Il est également nommé titulaire de l'orgue de la paroisse Saint-Patrice à Bayeux.
Il s'engage ensuite dans la Résistance. Peu après son mariage en août 1943, il est arrêté et interné au Struthof dans l'Alsace annexée, puis à Dachau en septembre 1944. Il quitte le camp en mai 1945 et rédige à son retour ce Journal de déportation, décrivant la hantise du four crématoire, les privations et les souffrances, les séances d'Appel dans le froid, ainsi que les sévices endurés par les détenus ayant tenté l'évasion.
Révolté par la brutalité des SS et indigné par le laisser-aller de quelques détenus, c'est lui, tellement attaché à la fraternité et aux vertus chrétiennes, qui soutient les camarades en détresse. Témoignage unique d'un jeune musicien aveugle, confronté a l'horreur des camps de concentration, soutenu par un désir ardent de vivre.
Il s'engage ensuite dans la Résistance. Peu après son mariage en août 1943, il est arrêté et interné au Struthof dans l'Alsace annexée, puis à Dachau en septembre 1944. Il quitte le camp en mai 1945 et rédige à son retour ce Journal de déportation, décrivant la hantise du four crématoire, les privations et les souffrances, les séances d'Appel dans le froid, ainsi que les sévices endurés par les détenus ayant tenté l'évasion.
Révolté par la brutalité des SS et indigné par le laisser-aller de quelques détenus, c'est lui, tellement attaché à la fraternité et aux vertus chrétiennes, qui soutient les camarades en détresse. Témoignage unique d'un jeune musicien aveugle, confronté a l'horreur des camps de concentration, soutenu par un désir ardent de vivre.