Journal de Constance de Castelbajac, marquise de Breteuil
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- Nombre de pages296
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.388 kg
- Dimensions14,1 cm × 22,7 cm × 2,4 cm
- ISBN978-2-262-10602-7
- EAN9782262106027
- Date de parution19/05/2025
- ÉditeurPerrin
- ContributeurEric Mension-Rigau
Résumé
Le témoignage irremplaçable d'une femme de la haute société parisienne, dont s'inspira Proust pour Du côté de Guermantes. Ce journal commence avec le récit des funérailles de Victor Hugo et s'achève en juillet 1886 quand la phtisie emporte sonauteur en pleine jeunesse. Née en 1859, dans la plus ancienne famille de la noblesse de Bigorre, Constance de Castelbajac a épousé, en 1878, Henri, 8e marquis de Breteuil (1848-1916), député monarchiste dans les Hautes-Pyrénées et l'une des personnalités les plus en vue du Tout-Paris de la Belle Epoque.
Retraçant une longue année de l'histoire de la IIIe République, cette chronique rédigée " à chaud " dépasse l'horizon des frontières nationales. Observatrice privilégiée de la cette haute société, dont les noms peuplent "Le Côté de Guermantes", elle-même reçue dans le cercle étroit des familles royales, Constance de Castelbajac présente un tableau de l'Europe aristocratique du dernier tiers du XIXe siècle.
La vivacité du style et l'acuité du regard confèrent au journal son intérêt historique, sociologique et littéraire. Un ouvrage qui s'inscrit parmi les témoignages rares et irremplaçables, qu'ont laissés les plumes féminines du XIXe siècle.
Retraçant une longue année de l'histoire de la IIIe République, cette chronique rédigée " à chaud " dépasse l'horizon des frontières nationales. Observatrice privilégiée de la cette haute société, dont les noms peuplent "Le Côté de Guermantes", elle-même reçue dans le cercle étroit des familles royales, Constance de Castelbajac présente un tableau de l'Europe aristocratique du dernier tiers du XIXe siècle.
La vivacité du style et l'acuité du regard confèrent au journal son intérêt historique, sociologique et littéraire. Un ouvrage qui s'inscrit parmi les témoignages rares et irremplaçables, qu'ont laissés les plumes féminines du XIXe siècle.
Le témoignage irremplaçable d'une femme de la haute société parisienne, dont s'inspira Proust pour Du côté de Guermantes. Ce journal commence avec le récit des funérailles de Victor Hugo et s'achève en juillet 1886 quand la phtisie emporte sonauteur en pleine jeunesse. Née en 1859, dans la plus ancienne famille de la noblesse de Bigorre, Constance de Castelbajac a épousé, en 1878, Henri, 8e marquis de Breteuil (1848-1916), député monarchiste dans les Hautes-Pyrénées et l'une des personnalités les plus en vue du Tout-Paris de la Belle Epoque.
Retraçant une longue année de l'histoire de la IIIe République, cette chronique rédigée " à chaud " dépasse l'horizon des frontières nationales. Observatrice privilégiée de la cette haute société, dont les noms peuplent "Le Côté de Guermantes", elle-même reçue dans le cercle étroit des familles royales, Constance de Castelbajac présente un tableau de l'Europe aristocratique du dernier tiers du XIXe siècle.
La vivacité du style et l'acuité du regard confèrent au journal son intérêt historique, sociologique et littéraire. Un ouvrage qui s'inscrit parmi les témoignages rares et irremplaçables, qu'ont laissés les plumes féminines du XIXe siècle.
Retraçant une longue année de l'histoire de la IIIe République, cette chronique rédigée " à chaud " dépasse l'horizon des frontières nationales. Observatrice privilégiée de la cette haute société, dont les noms peuplent "Le Côté de Guermantes", elle-même reçue dans le cercle étroit des familles royales, Constance de Castelbajac présente un tableau de l'Europe aristocratique du dernier tiers du XIXe siècle.
La vivacité du style et l'acuité du regard confèrent au journal son intérêt historique, sociologique et littéraire. Un ouvrage qui s'inscrit parmi les témoignages rares et irremplaçables, qu'ont laissés les plumes féminines du XIXe siècle.