Journal d'une Juive française à Paris sous l'Occupation (1939-1943)
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- Nombre de pages214
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.33 kg
- Dimensions15,0 cm × 23,0 cm × 1,6 cm
- ISBN978-2-84621-313-4
- EAN9782846213134
- Date de parution06/05/2021
- CollectionParoles singulières
- ÉditeurParis - Max Chaleil
- AnnotateurDavid Fuks
Résumé
Voilà vingt-cinq ans, à la suite du décès de sa grand-mère, Raymonde Hacker, épouse Rose, David Fuks a découvert, dans une armoire normande, sous une pile de draps, dans l'appartement où son père avait exercé son métier de tailleur, le journal qu'elle tint de 1939 à 1943. De sa vie, durant cette période sombre, peu de choses lui étaient parvenues si ce n'est qu'avec quelques dizaines de milliers d'autres Juifs demeurés, malgré les délations et arrestations, dans la capitale de tous les dangers, elle avait traversé sur place quatre années d'épreuves.
Mise au ban de la société, cible vivante désignée à la vindicte de la population par tous les relais de l'Etat français, interdite d'exercer son métier et sans ressources, séparée de son époux en captivité, Raymonde Rose a écrit le récit de ces années de souffrance dans cette "grande préfecture régionale" de l'Allemagne qu'était devenue Paris. De nombreuses coupures de presse sélectionnées par elle parsèment ces pages, sur les lois antijuives, les spoliations, les arrestations et exécutions, la pénurie, mais aussi sur certains aspects de la vie culturelle qui continuait malgré tout.
Exposé et conservé au mémorial de la Shoah, ce journal constitue un témoignage exceptionnel sur ce pan largement ignoré de l'histoire des Juifs de France.
Mise au ban de la société, cible vivante désignée à la vindicte de la population par tous les relais de l'Etat français, interdite d'exercer son métier et sans ressources, séparée de son époux en captivité, Raymonde Rose a écrit le récit de ces années de souffrance dans cette "grande préfecture régionale" de l'Allemagne qu'était devenue Paris. De nombreuses coupures de presse sélectionnées par elle parsèment ces pages, sur les lois antijuives, les spoliations, les arrestations et exécutions, la pénurie, mais aussi sur certains aspects de la vie culturelle qui continuait malgré tout.
Exposé et conservé au mémorial de la Shoah, ce journal constitue un témoignage exceptionnel sur ce pan largement ignoré de l'histoire des Juifs de France.
Voilà vingt-cinq ans, à la suite du décès de sa grand-mère, Raymonde Hacker, épouse Rose, David Fuks a découvert, dans une armoire normande, sous une pile de draps, dans l'appartement où son père avait exercé son métier de tailleur, le journal qu'elle tint de 1939 à 1943. De sa vie, durant cette période sombre, peu de choses lui étaient parvenues si ce n'est qu'avec quelques dizaines de milliers d'autres Juifs demeurés, malgré les délations et arrestations, dans la capitale de tous les dangers, elle avait traversé sur place quatre années d'épreuves.
Mise au ban de la société, cible vivante désignée à la vindicte de la population par tous les relais de l'Etat français, interdite d'exercer son métier et sans ressources, séparée de son époux en captivité, Raymonde Rose a écrit le récit de ces années de souffrance dans cette "grande préfecture régionale" de l'Allemagne qu'était devenue Paris. De nombreuses coupures de presse sélectionnées par elle parsèment ces pages, sur les lois antijuives, les spoliations, les arrestations et exécutions, la pénurie, mais aussi sur certains aspects de la vie culturelle qui continuait malgré tout.
Exposé et conservé au mémorial de la Shoah, ce journal constitue un témoignage exceptionnel sur ce pan largement ignoré de l'histoire des Juifs de France.
Mise au ban de la société, cible vivante désignée à la vindicte de la population par tous les relais de l'Etat français, interdite d'exercer son métier et sans ressources, séparée de son époux en captivité, Raymonde Rose a écrit le récit de ces années de souffrance dans cette "grande préfecture régionale" de l'Allemagne qu'était devenue Paris. De nombreuses coupures de presse sélectionnées par elle parsèment ces pages, sur les lois antijuives, les spoliations, les arrestations et exécutions, la pénurie, mais aussi sur certains aspects de la vie culturelle qui continuait malgré tout.
Exposé et conservé au mémorial de la Shoah, ce journal constitue un témoignage exceptionnel sur ce pan largement ignoré de l'histoire des Juifs de France.