Journal d'un prêtre en Algérie. Oran 1961-1962

Par : Michel de Laparre de Saint-Sernin

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  • Nombre de pages255
  • PrésentationBroché
  • Poids0.33 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN2-84764-019-3
  • EAN9782847640199
  • Date de parution15/11/2004
  • CollectionHistoire
  • ÉditeurPage après Page

Résumé

Oran. Juillet 1961 - Alors que l'abandon de la France ne fait plus aucun doute, la capitale de l'Ouest algérien, refusant de se laisser broyer par la raison d'État, entre en résistance. Une lutte féroce s'engage entre l'OAS, bras armé d'une population majoritairement européenne, d'une part, le FLN et les forces de l'ordre d'autre part. Le père Michel de Laparre arrive dans une ville en état de siège. Il tient le journal de cette année tragique : attentats, disparitions, exode... Jusqu'à la tuerie du 5 juillet 1962, journée la plus sanglante de cette guerre et nous livre le plus précieux des témoignages au cœur de cette population dans l'attente et le refus du coup fatal. Plus de quarante ans après ces événements, il semble qu'on puisse maintenant regarder cette page d'histoire avec plus de justice et de vérité. Il est temps d'ouvrir les yeux et de voir que la honte n'était pas du côté des Français d'Algérie qui se défendaient la rage au cœur. Ils étaient plongés dans l'angoisse profonde et la désespérance que décrit si bien Camus dans La Peste... Il faut rétablir la vérité historique sur cette époque si dramatique et admettre enfin l'immense responsabilité de la France.
Oran. Juillet 1961 - Alors que l'abandon de la France ne fait plus aucun doute, la capitale de l'Ouest algérien, refusant de se laisser broyer par la raison d'État, entre en résistance. Une lutte féroce s'engage entre l'OAS, bras armé d'une population majoritairement européenne, d'une part, le FLN et les forces de l'ordre d'autre part. Le père Michel de Laparre arrive dans une ville en état de siège. Il tient le journal de cette année tragique : attentats, disparitions, exode... Jusqu'à la tuerie du 5 juillet 1962, journée la plus sanglante de cette guerre et nous livre le plus précieux des témoignages au cœur de cette population dans l'attente et le refus du coup fatal. Plus de quarante ans après ces événements, il semble qu'on puisse maintenant regarder cette page d'histoire avec plus de justice et de vérité. Il est temps d'ouvrir les yeux et de voir que la honte n'était pas du côté des Français d'Algérie qui se défendaient la rage au cœur. Ils étaient plongés dans l'angoisse profonde et la désespérance que décrit si bien Camus dans La Peste... Il faut rétablir la vérité historique sur cette époque si dramatique et admettre enfin l'immense responsabilité de la France.