Joueurs de go. Légendes, haïkus et senryû au Japon, de l'époque d'Edo (XVIIe siècle) jusqu'à l'ère Shôwa (1926-1989)

Par : Motoki Noguchi

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  • Nombre de pages116
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.1 kg
  • Dimensions11,5 cm × 18,0 cm × 0,5 cm
  • ISBN978-2-37679-089-1
  • EAN9782376790891
  • Date de parution09/11/2024
  • CollectionKolam. Poésie
  • ÉditeurPippa Editions

Résumé

Le jeu de go est un jeu de plateau et de stratégie d'origine chinoise. Pratiqué notamment dans des pays extrême-orientaux, il s'est également répandu en Occident au cours du XXe siècle. Il se joue à deux, sur un plateau appelé goban et avec des pierres noires et blanches. Au début d'une partie, le goban, avec 19 lignes sur 19 et 361 intersections, est vide. Chacun pose une pierre à tour de rôle sur une intersection : dans une partie à égalité, Noir joue le premier coup et Blanc suit.
Vous avez sûrement entendu parler de ce jeu de plateau et de stratégie multimillénaire, peut-être grâce au Maître ou le tournoi de go de Yasunari Kawabata, à La joueuse de go de Shan Sa, au manga Hikaru no go, ou à AlphaGo, l'intelligence artificielle développée par Google DeepMind. Le jeu est appelé weiqi en chinois, baduk en coréen et igo ou tout simplement go en japonais. Dans le présent ouvrage, vous allez découvrir environ cent cinquante haïkus et senryû datant de l'époque d'Edo (1603-1868) jusqu'à l'ère Shôwa (1926-1989).
Ils sont issus d'un corpus gigantesque : en effet, Igo Goen (Masuda Tadahiko, 2009, Institut de recherche sur l'industrie du divertissement de l'Université de commerce d'Osaka), inventaire des écrits historiques mentionnant le go, recense 1600 renga et haïkus, ainsi que 2700 zappaï (senryû etc.) en lien avec le jeu. S'y ajoutent des compositions poétiques après l'ère Meiji (1868-1912) que le volumineux recueil ne couvre pas.
Ces poèmes héritent d'un vaste patrimoine extrême-oriental.
Le jeu de go est un jeu de plateau et de stratégie d'origine chinoise. Pratiqué notamment dans des pays extrême-orientaux, il s'est également répandu en Occident au cours du XXe siècle. Il se joue à deux, sur un plateau appelé goban et avec des pierres noires et blanches. Au début d'une partie, le goban, avec 19 lignes sur 19 et 361 intersections, est vide. Chacun pose une pierre à tour de rôle sur une intersection : dans une partie à égalité, Noir joue le premier coup et Blanc suit.
Vous avez sûrement entendu parler de ce jeu de plateau et de stratégie multimillénaire, peut-être grâce au Maître ou le tournoi de go de Yasunari Kawabata, à La joueuse de go de Shan Sa, au manga Hikaru no go, ou à AlphaGo, l'intelligence artificielle développée par Google DeepMind. Le jeu est appelé weiqi en chinois, baduk en coréen et igo ou tout simplement go en japonais. Dans le présent ouvrage, vous allez découvrir environ cent cinquante haïkus et senryû datant de l'époque d'Edo (1603-1868) jusqu'à l'ère Shôwa (1926-1989).
Ils sont issus d'un corpus gigantesque : en effet, Igo Goen (Masuda Tadahiko, 2009, Institut de recherche sur l'industrie du divertissement de l'Université de commerce d'Osaka), inventaire des écrits historiques mentionnant le go, recense 1600 renga et haïkus, ainsi que 2700 zappaï (senryû etc.) en lien avec le jeu. S'y ajoutent des compositions poétiques après l'ère Meiji (1868-1912) que le volumineux recueil ne couvre pas.
Ces poèmes héritent d'un vaste patrimoine extrême-oriental.