John Paul Jones. Ou la vie aventureuse d'un corsaire américain, chevalier de Louis XVI et amiral de Russie

Par : Alain Boulaire

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  • Nombre de pages218
  • PrésentationBroché
  • Poids0.325 kg
  • Dimensions14,5 cm × 22,5 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-84833-270-3
  • EAN9782848332703
  • Date de parution18/04/2012
  • ÉditeurLe Télégramme

Résumé

C'est dans le sillage d'un véritable aventurier que cette biographie de John Paul Jones (1747-1792) entraîne son lecteur. Pourtant rien ne destinait ce fils de jardinier écossais à devenir un des premiers commandants de la flotte de la toute jeune République des États-Unis et encore moins amiral de la Grande Catherine, impératrice de Russie. Rien, si ce n'est son attirance pour la mer qui fit qu'il embarqua comme mousse à destination de l'Amérique à l'âge de 13 ans ; rien sinon qu'il détestait les Anglais et prit le parti des Insurgents américains.
Armé par la France qui soutenait la révolte des colonies américaines, protégé par Benjamin Franklin et Thomas Jefferson, excellent marin et fin tacticien, il chassa à la course les navires anglais depuis les ports de Lorient et Brest. Sa notoriété parvint jusqu'à la cour de Russie où l'impératrice Catherine II lui confia le commandement de sa flotte sur la mer Noire. Il remporta des victoires navales décisives sur les Ottomans, mais s'éloigna d'une cour où régnaient les intrigues.
Il vécut les derniers mois de sa vie à Paris sous la Révolution et mourut sans savoir que le gouvernement américain venait de le nommer consul à Alger afin de pourchasser les pirates barbaresques en Méditerranée. Une nouvelle aventure qu'il appelait de ses voeux. Reconnu par le gouvernement des États-Unis comme un des fondateurs de la marine américaine, il repose aujourd'hui dans une crypte de la chapelle de l'Académie navale d'Annapolis aux USA.
C'est dans le sillage d'un véritable aventurier que cette biographie de John Paul Jones (1747-1792) entraîne son lecteur. Pourtant rien ne destinait ce fils de jardinier écossais à devenir un des premiers commandants de la flotte de la toute jeune République des États-Unis et encore moins amiral de la Grande Catherine, impératrice de Russie. Rien, si ce n'est son attirance pour la mer qui fit qu'il embarqua comme mousse à destination de l'Amérique à l'âge de 13 ans ; rien sinon qu'il détestait les Anglais et prit le parti des Insurgents américains.
Armé par la France qui soutenait la révolte des colonies américaines, protégé par Benjamin Franklin et Thomas Jefferson, excellent marin et fin tacticien, il chassa à la course les navires anglais depuis les ports de Lorient et Brest. Sa notoriété parvint jusqu'à la cour de Russie où l'impératrice Catherine II lui confia le commandement de sa flotte sur la mer Noire. Il remporta des victoires navales décisives sur les Ottomans, mais s'éloigna d'une cour où régnaient les intrigues.
Il vécut les derniers mois de sa vie à Paris sous la Révolution et mourut sans savoir que le gouvernement américain venait de le nommer consul à Alger afin de pourchasser les pirates barbaresques en Méditerranée. Une nouvelle aventure qu'il appelait de ses voeux. Reconnu par le gouvernement des États-Unis comme un des fondateurs de la marine américaine, il repose aujourd'hui dans une crypte de la chapelle de l'Académie navale d'Annapolis aux USA.