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En 1928, Paulhan demande à Grenier d'imaginer une disparition définitive du roman. En 1945, entre deux disputes avec les écrivains blancs, il se dit accablé par les romans visionnaires. Entre-temps, il a vu, dans le bureau où il recevait, des têtes qui tombaient une à une. Et puis, des fortes têtes, qu'il s'est chargé de réduire. Enfin, quelques bons auteurs qui savaient se servir des têtes réduites pour épouvanter, pour faire reculer un temps les gros marchands de la prose française.