« JerUSAlem » (de Hildegarde GAP) à la lumière de l'actualité
Des jeunes partent, en recherche de valeurs perdues par notre société... Des familles effarées, n'ayant rien voulu voir venir, découvrent des « fous de Dieu» partir pour la « guerre sainte »…
Combien n’avaient-ils pas dit : « Nos enfants choisiront lorsqu'ils seront grands »… et voilà : révoltés contre l’esclavagisme matériel et l’hystérie consommatoire des parents, ils volent vers les apparences de spiritualités propagées par les médias…
Le JT diffuse à l'envi les exécutions d'otages. Les
français médusés et amnésiques avaient oublié bien facilement toutes ces têtes tranchées de la Révolution jusqu'en 1981… L’état coupable et hypocrite maquille l’évidence comme il peut à coups de rustines.
Notre société laïque, égarée dans son matérialisme et la peur de sa mort, renie ses valeurs et ses martyrs, et révolte un Islam convaincu de gagner en martyrs ses places au Paradis.
PARADIS ? Dieu ? Jésus ? Exhiber chez nous un symbole chrétien est malvenu, alors que l'islam et le judaïsme revendiquent leurs emblèmes au prétexte que la France est un pays laïque !
Avec l’endoctrinement officiel, l’an zéro ne commence plus qu'à la Révolution française. Bâillon après bâillon, les responsables musellent nos ancêtres les Gaulois, nos rois fainéants, Charlemagne, gomment les croisades, jettent aux oubliettes Saint-Louis, Louis XIV, Napoléon… Tous nos héros sont sacrifiés par des intellos. Et les musées qui multiplient pour exposer le génie européen n’ont plus les clés pour comprendre et s'émerveiller.
«JerUSAlem» ne révèle rien d’inconnu pour ceux d'après-guerre, sauf l’hypothèse de départ : Le Christ et Marie-Madeleine, époux, auraient eu une descendance dont nos rois seraient issus. La diffusion récente des manuscrits de la mer morte découverts en 45 met à mal ce vieux tabou.
Pour le reste, en reliant à l'histoire « l'art, y compris la musique, les récits des mystiques comme les connaissances longtemps classées dans l'ésotérisme ou les arts divinatoires», elle ne fait que proposer une autre lecture des évènements historiques.
Pour les plus jeunes, la réinitialisation d'une chronologie sabotée par les programmes scolaires comme de la spiritualité qui a fondé notre pays sera une révélation. Pour les aînés, la surprise de redécouvrir tant de choses apprises dans l'enfance, éclairées et lavées des mystifications officielles.
De l'an 33 à nos jours, ce précis de notre histoire spirituelle déroule un fil d’une surprenante cohérence, sans jamais prétendre imposer « LA » vérité. Il arrive à point dans ces temps troublés. Concentré de 140 pages riche d’une documentation extrêmement sérieuse, il se relit, se conseille et ouvre des horizons. Utile pour une jeunesse infiniment spirituelle, comme l'avait défini Malraux, et qui aspire souvent désespérément à un absolu dans ce désastre planétaire, l’atteignant parfois par la drogue, le jeu du foulard, défiant les interdits en portant des croix sous couvert de gothique.
Un lecteurs a résumé ainsi « JerUSAlem »,: « Ce livre est à la fois une mine et une bombe ; mine de pistes de réflexions, une bombe si l'on songe aux implications »…
livre d'actualité brûlante
« JerUSAlem » (de Hildegarde GAP) à la lumière de l'actualité
Des jeunes partent, en recherche de valeurs perdues par notre société... Des familles effarées, n'ayant rien voulu voir venir, découvrent des « fous de Dieu» partir pour la « guerre sainte »…
Combien n’avaient-ils pas dit : « Nos enfants choisiront lorsqu'ils seront grands »… et voilà : révoltés contre l’esclavagisme matériel et l’hystérie consommatoire des parents, ils volent vers les apparences de spiritualités propagées par les médias…
Le JT diffuse à l'envi les exécutions d'otages. Les français médusés et amnésiques avaient oublié bien facilement toutes ces têtes tranchées de la Révolution jusqu'en 1981… L’état coupable et hypocrite maquille l’évidence comme il peut à coups de rustines.
Notre société laïque, égarée dans son matérialisme et la peur de sa mort, renie ses valeurs et ses martyrs, et révolte un Islam convaincu de gagner en martyrs ses places au Paradis.
PARADIS ? Dieu ? Jésus ? Exhiber chez nous un symbole chrétien est malvenu, alors que l'islam et le judaïsme revendiquent leurs emblèmes au prétexte que la France est un pays laïque !
Avec l’endoctrinement officiel, l’an zéro ne commence plus qu'à la Révolution française. Bâillon après bâillon, les responsables musellent nos ancêtres les Gaulois, nos rois fainéants, Charlemagne, gomment les croisades, jettent aux oubliettes Saint-Louis, Louis XIV, Napoléon… Tous nos héros sont sacrifiés par des intellos. Et les musées qui multiplient pour exposer le génie européen n’ont plus les clés pour comprendre et s'émerveiller.
«JerUSAlem» ne révèle rien d’inconnu pour ceux d'après-guerre, sauf l’hypothèse de départ : Le Christ et Marie-Madeleine, époux, auraient eu une descendance dont nos rois seraient issus. La diffusion récente des manuscrits de la mer morte découverts en 45 met à mal ce vieux tabou.
Pour le reste, en reliant à l'histoire « l'art, y compris la musique, les récits des mystiques comme les connaissances longtemps classées dans l'ésotérisme ou les arts divinatoires», elle ne fait que proposer une autre lecture des évènements historiques.
Pour les plus jeunes, la réinitialisation d'une chronologie sabotée par les programmes scolaires comme de la spiritualité qui a fondé notre pays sera une révélation. Pour les aînés, la surprise de redécouvrir tant de choses apprises dans l'enfance, éclairées et lavées des mystifications officielles.
De l'an 33 à nos jours, ce précis de notre histoire spirituelle déroule un fil d’une surprenante cohérence, sans jamais prétendre imposer « LA » vérité. Il arrive à point dans ces temps troublés. Concentré de 140 pages riche d’une documentation extrêmement sérieuse, il se relit, se conseille et ouvre des horizons. Utile pour une jeunesse infiniment spirituelle, comme l'avait défini Malraux, et qui aspire souvent désespérément à un absolu dans ce désastre planétaire, l’atteignant parfois par la drogue, le jeu du foulard, défiant les interdits en portant des croix sous couvert de gothique.
Un lecteurs a résumé ainsi « JerUSAlem »,: « Ce livre est à la fois une mine et une bombe ; mine de pistes de réflexions, une bombe si l'on songe aux implications »…