Jean Vigo. Une Vie Engagee Dans Le Cinema

Par : Luce Vigo

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  • Nombre de pages96
  • PrésentationBroché
  • Poids0.145 kg
  • Dimensions13,5 cm × 19,0 cm × 0,8 cm
  • ISBN2-86642-320-8
  • EAN9782866423209
  • Date de parution20/04/2002
  • CollectionLes petits Cahiers
  • ÉditeurCahiers du cinéma

Résumé

À propos de Nice; Taris, Zéro de conduite et L'Atalante : quatre films seuleuÏentAe9 à 1934. Un affrontement avec la censure officielle puis avec celle de l'industrie du cinéma. Une vie trop brève qui s'achève à 29 ans... Vigo est devenu une sorte de Rimbaud du cinéma... Luce Vigo propose ici un portrait débarrassé de toute une mythologie romantique. Fille du cinéaste, elle n'avait que trois ans à la mort de son père, mais elle l'a trouvé peu à peu à travers les témoignages de ses amis, ses archives personnelles et les films eux-mêmes. Non, Vigo n'était pas un artiste maudit, obsédé par la mort, mais un jeune homme assoiffé de cinéma. Si le souvenir de son père anarchiste arrêté sous ses yeux, puis " suicidé " en prison alors qu'il n'avait que douze ans, hante cette œuvre, elle ne se réduit pas aux traces d'une biographie. Vigo a créé un langage cinématographique novateur à la fois visionnaire et réaliste, alliance de beauté et de cruauté, qui ouvrait des voies nouvelles en ces débuts du parlant. " Un cinéaste-né ", proclamait dès 1934 Élie Faure. Il ne cesse de renaître chaque jour un peu plus pour les nouvelles générations, et Luce Vigo y contribue aujourd'hui avec chaleur et lucidité.
À propos de Nice; Taris, Zéro de conduite et L'Atalante : quatre films seuleuÏentAe9 à 1934. Un affrontement avec la censure officielle puis avec celle de l'industrie du cinéma. Une vie trop brève qui s'achève à 29 ans... Vigo est devenu une sorte de Rimbaud du cinéma... Luce Vigo propose ici un portrait débarrassé de toute une mythologie romantique. Fille du cinéaste, elle n'avait que trois ans à la mort de son père, mais elle l'a trouvé peu à peu à travers les témoignages de ses amis, ses archives personnelles et les films eux-mêmes. Non, Vigo n'était pas un artiste maudit, obsédé par la mort, mais un jeune homme assoiffé de cinéma. Si le souvenir de son père anarchiste arrêté sous ses yeux, puis " suicidé " en prison alors qu'il n'avait que douze ans, hante cette œuvre, elle ne se réduit pas aux traces d'une biographie. Vigo a créé un langage cinématographique novateur à la fois visionnaire et réaliste, alliance de beauté et de cruauté, qui ouvrait des voies nouvelles en ces débuts du parlant. " Un cinéaste-né ", proclamait dès 1934 Élie Faure. Il ne cesse de renaître chaque jour un peu plus pour les nouvelles générations, et Luce Vigo y contribue aujourd'hui avec chaleur et lucidité.
Rencontres
Luce Vigo
Poche
17,00 €