Jean Prévost le multiple

Par : Emmanuel Bluteau, François Ouellet

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  • Nombre de pages150
  • PrésentationBroché
  • Poids0.222 kg
  • Dimensions15,5 cm × 21,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-7535-4203-7
  • EAN9782753542037
  • Date de parution15/10/2015
  • CollectionInterférences
  • ÉditeurPU Rennes

Résumé

Vingt ans de vie littéraire : c’est très peu, trop peu. Surtout quand on sait le temps nécessaire pour apprendre à devenir un homme. Certes, Jean Prévost ne perd pas de temps, car il a très tôt le souci extrême de son propre développement intellectuel au sein d’une Europe qui se cherche durant l’entre-deux-guerres et que, ayant tous les talents, il est armé pour la vie, même s’il doit la perdre prématurément en 1944.
Soixante-dix ans après sa mort, une relecture attentive de son oeuvre – forte d'une trentaine d'ouvrages et de plus d'un millier d'articles –, inachevée par le fait des circonstances, ouvre de nouvelles perspectives de découverte de Jean Prévost. Prévost entre dans la «carrière» des lettres à l’âge de 23 ans par la grande porte, celle de La Nouvelle Revue française. Jusqu’à la soutenance de sa thèse sur Stendhal en 1942, il s’est dépensé sans compter, écrivant des essais, des romans, des préfaces, des articles et des conférences.
A la veille de la Seconde Guerre mondiale, Prévost est un homme plein d’espérance : «J’ai cherché ici ce qui peut être l’espoir des hommes ; j’écrivais en un temps où nous avions besoin d’espérance.» Qui oserait dire que ce mot n’est pas d’actualité aujourd’hui ? Et qui oserait croire que nous n’aurions pas besoin en ce moment d’un écrivain et penseur de la trempe de Jean Prévost ? Un Jean Prévost multiple certes, mais aussi étonnamment moderne.
Vingt ans de vie littéraire : c’est très peu, trop peu. Surtout quand on sait le temps nécessaire pour apprendre à devenir un homme. Certes, Jean Prévost ne perd pas de temps, car il a très tôt le souci extrême de son propre développement intellectuel au sein d’une Europe qui se cherche durant l’entre-deux-guerres et que, ayant tous les talents, il est armé pour la vie, même s’il doit la perdre prématurément en 1944.
Soixante-dix ans après sa mort, une relecture attentive de son oeuvre – forte d'une trentaine d'ouvrages et de plus d'un millier d'articles –, inachevée par le fait des circonstances, ouvre de nouvelles perspectives de découverte de Jean Prévost. Prévost entre dans la «carrière» des lettres à l’âge de 23 ans par la grande porte, celle de La Nouvelle Revue française. Jusqu’à la soutenance de sa thèse sur Stendhal en 1942, il s’est dépensé sans compter, écrivant des essais, des romans, des préfaces, des articles et des conférences.
A la veille de la Seconde Guerre mondiale, Prévost est un homme plein d’espérance : «J’ai cherché ici ce qui peut être l’espoir des hommes ; j’écrivais en un temps où nous avions besoin d’espérance.» Qui oserait dire que ce mot n’est pas d’actualité aujourd’hui ? Et qui oserait croire que nous n’aurions pas besoin en ce moment d’un écrivain et penseur de la trempe de Jean Prévost ? Un Jean Prévost multiple certes, mais aussi étonnamment moderne.
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