" Les chiens aboient de près et de loin le coq chante./C'est votre façon d'être, ô campagne méchante./Mais Avril change tout le lendemain matin,/Fait aux arbres fruitiers mâtures de satin,/Sur vigne et papillon frotte le même soufre,/Augmente le soleil sans que la terre en souffre,/Dans le vin de la rose enivre les bourdons,/Et d'amour dénoué réunit les cordons./Ainsi chante un poète aimé des dieux farouches,/Et qui, comme Janus, possède plusieurs bouches... "
" Les chiens aboient de près et de loin le coq chante./C'est votre façon d'être, ô campagne méchante./Mais Avril change tout le lendemain matin,/Fait aux arbres fruitiers mâtures de satin,/Sur vigne et papillon frotte le même soufre,/Augmente le soleil sans que la terre en souffre,/Dans le vin de la rose enivre les bourdons,/Et d'amour dénoué réunit les cordons./Ainsi chante un poète aimé des dieux farouches,/Et qui, comme Janus, possède plusieurs bouches... "