Vincent Cosse est Haut Fonctionnaire au ministère de la Culture (administration centrale), diplômé de l'IEP de Toulouse
Jean-Baptiste Blézio. Journal de bord d'un prisonnier de guerre en Allemagne (1940-1945)
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- Nombre de pages208
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.385 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,2 cm
- ISBN979-10-7006-168-8
- EAN9791070061688
- Date de parution15/12/2022
- ÉditeurCairn (Editions)
Résumé
Les Carnets de Jean-Baptiste Blezio constituent le témoignage d'un prisonnier de guerre français, natif du Pays basque, en Allemagne pendant la Seconde Guerre mondiale. Mobilisé en tant que réserviste en août 1939, à 31 ans, ce modeste soldat du rang, ouvrier-cordonnier venu d'Hasparren, petite commune du Piémont pyrénéen, gagne la ligne de Front et participe aux brèves hostilités du printemps 1940 en Alsace puis en Franche-Comté.
Au coeur d'une armée en déroute, le 23 juin 1940 "commence le régime du prisonnier" . Il durera toute la guerre. Rapidement évacué en Allemagne, il traverse le pays, est transféré d'un camp de prisonniers de guerre à un autre sans trop de répit et finit son périple à la frontière polonaise, après être passé par la célèbre forteresse prison de Colditz. Son camp de Prisonnier de Guerre près de l'Elbe, l'un des plus grands mouroirs pour soldats soviétiques sur le sol allemand, est libéré par l'armée rouge : "22 avril 1945 Jour marquant dans captivité.
Au réveil enfin ! on est libre ! ils sont partis !!! dans la nuit... prudence quand même.
Au coeur d'une armée en déroute, le 23 juin 1940 "commence le régime du prisonnier" . Il durera toute la guerre. Rapidement évacué en Allemagne, il traverse le pays, est transféré d'un camp de prisonniers de guerre à un autre sans trop de répit et finit son périple à la frontière polonaise, après être passé par la célèbre forteresse prison de Colditz. Son camp de Prisonnier de Guerre près de l'Elbe, l'un des plus grands mouroirs pour soldats soviétiques sur le sol allemand, est libéré par l'armée rouge : "22 avril 1945 Jour marquant dans captivité.
Au réveil enfin ! on est libre ! ils sont partis !!! dans la nuit... prudence quand même.
Les Carnets de Jean-Baptiste Blezio constituent le témoignage d'un prisonnier de guerre français, natif du Pays basque, en Allemagne pendant la Seconde Guerre mondiale. Mobilisé en tant que réserviste en août 1939, à 31 ans, ce modeste soldat du rang, ouvrier-cordonnier venu d'Hasparren, petite commune du Piémont pyrénéen, gagne la ligne de Front et participe aux brèves hostilités du printemps 1940 en Alsace puis en Franche-Comté.
Au coeur d'une armée en déroute, le 23 juin 1940 "commence le régime du prisonnier" . Il durera toute la guerre. Rapidement évacué en Allemagne, il traverse le pays, est transféré d'un camp de prisonniers de guerre à un autre sans trop de répit et finit son périple à la frontière polonaise, après être passé par la célèbre forteresse prison de Colditz. Son camp de Prisonnier de Guerre près de l'Elbe, l'un des plus grands mouroirs pour soldats soviétiques sur le sol allemand, est libéré par l'armée rouge : "22 avril 1945 Jour marquant dans captivité.
Au réveil enfin ! on est libre ! ils sont partis !!! dans la nuit... prudence quand même.
Au coeur d'une armée en déroute, le 23 juin 1940 "commence le régime du prisonnier" . Il durera toute la guerre. Rapidement évacué en Allemagne, il traverse le pays, est transféré d'un camp de prisonniers de guerre à un autre sans trop de répit et finit son périple à la frontière polonaise, après être passé par la célèbre forteresse prison de Colditz. Son camp de Prisonnier de Guerre près de l'Elbe, l'un des plus grands mouroirs pour soldats soviétiques sur le sol allemand, est libéré par l'armée rouge : "22 avril 1945 Jour marquant dans captivité.
Au réveil enfin ! on est libre ! ils sont partis !!! dans la nuit... prudence quand même.