Je vous écris d'Algérie (1958 - 1959)
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- Nombre de pages114
- PrésentationBroché
- Poids0.185 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 1,0 cm
- ISBN2-915098-06-9
- EAN9782915098068
- Date de parution01/07/2003
- ÉditeurMonique Martin
Résumé
Au milieu des années 1950, tout portait à croire que ma génération, nourrie par les récits des grands-pères, poilus de 14/18 et des pères marqués par le conflit suivant, serait oubliée par la guerre. Il n'en fut rien et ce témoignage sans prétention historique donnera un éclairage différent des ouvrages qu'on a pu lire, jusqu'à présent, sur le conflit algérien qui marquera à jamais ceux qui en furent les acteurs involontaires. Ces lignes ont été écrites avant que la presse, la radio, la télévision ne se mettent, avec un bel ensemble à produire des reportages concernant la guerre d'Algérie. Certains de ces reportages ont répondu à un souci de vérité historique et d'impartialité incontestable. D'autres ont montré plus de parti - pris. Comment peut-il en être autrement sur ce sujet ! Je regrette seulement qu'aucun n'ait donné la parole à une mère d'appelé tué à 20 ans. Sont-elles toutes mortes de chagrin ? Sont-elles encore tabou les photos des alignements des cercueils rapatriés en métropole contenant les 20 000 morts en opération ?
Au milieu des années 1950, tout portait à croire que ma génération, nourrie par les récits des grands-pères, poilus de 14/18 et des pères marqués par le conflit suivant, serait oubliée par la guerre. Il n'en fut rien et ce témoignage sans prétention historique donnera un éclairage différent des ouvrages qu'on a pu lire, jusqu'à présent, sur le conflit algérien qui marquera à jamais ceux qui en furent les acteurs involontaires. Ces lignes ont été écrites avant que la presse, la radio, la télévision ne se mettent, avec un bel ensemble à produire des reportages concernant la guerre d'Algérie. Certains de ces reportages ont répondu à un souci de vérité historique et d'impartialité incontestable. D'autres ont montré plus de parti - pris. Comment peut-il en être autrement sur ce sujet ! Je regrette seulement qu'aucun n'ait donné la parole à une mère d'appelé tué à 20 ans. Sont-elles toutes mortes de chagrin ? Sont-elles encore tabou les photos des alignements des cercueils rapatriés en métropole contenant les 20 000 morts en opération ?