Je vous ai lu quelque part
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- Nombre de pages114
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.3 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 0,0 cm
- ISBN978-2-38638-169-0
- EAN9782386381690
- Date de parution26/03/2025
- CollectionLe metteur en signe
- ÉditeurUnicité
Résumé
D'où écrivons-nous... ? A partir de quel nom invisible ? Sur quelles cendres, déposons-nous le soir... ? Par quelle nuit nous appelons-nous... ? Ainsi s'interrogent Mireille Diaz-Florian, Danielle Fournier et François Minod dans ces correspondances si douées d'un habile mystère à offrir. Qu'est-ce qui fait que ça écrit ou ça n'écrit pas ? Comment forer et assumer cette intensité première, si justement indélébile ? Que sait-on finalement de l'autre à qui on s'adresse ? Beaucoup et peu.
Je vous écris dans nos silences mais soupçonne-t-on vraiment ce que l'on confie... ? Quel est ce dire qui nous tait ? C'est bien de l'intimité qu'il s'agit dans ces échanges. Il y a toujours un reste : la chose. Elle prévient peut-être l'invivable. Dans ces archives du silence, les trois auteurs déposent leurs mémoires, leurs incertitudes ordinaires et fécondes et leurs vibrations nous pénètrent au ralenti.
Avec eux, recensons nos chutes interminables et hissons-nous à nos échéances. L'écriture est là. Inaccessible. Le miroir renvoie le reflet de quelqu'un qu'on ne reconnaît pas. Comment vivre avec ce qui demeure silencieux ... ? Quel lecteur attend au contact de ces petites foudres si poreuses... ? Je vous ai lu quelque part...
Je vous écris dans nos silences mais soupçonne-t-on vraiment ce que l'on confie... ? Quel est ce dire qui nous tait ? C'est bien de l'intimité qu'il s'agit dans ces échanges. Il y a toujours un reste : la chose. Elle prévient peut-être l'invivable. Dans ces archives du silence, les trois auteurs déposent leurs mémoires, leurs incertitudes ordinaires et fécondes et leurs vibrations nous pénètrent au ralenti.
Avec eux, recensons nos chutes interminables et hissons-nous à nos échéances. L'écriture est là. Inaccessible. Le miroir renvoie le reflet de quelqu'un qu'on ne reconnaît pas. Comment vivre avec ce qui demeure silencieux ... ? Quel lecteur attend au contact de ces petites foudres si poreuses... ? Je vous ai lu quelque part...
D'où écrivons-nous... ? A partir de quel nom invisible ? Sur quelles cendres, déposons-nous le soir... ? Par quelle nuit nous appelons-nous... ? Ainsi s'interrogent Mireille Diaz-Florian, Danielle Fournier et François Minod dans ces correspondances si douées d'un habile mystère à offrir. Qu'est-ce qui fait que ça écrit ou ça n'écrit pas ? Comment forer et assumer cette intensité première, si justement indélébile ? Que sait-on finalement de l'autre à qui on s'adresse ? Beaucoup et peu.
Je vous écris dans nos silences mais soupçonne-t-on vraiment ce que l'on confie... ? Quel est ce dire qui nous tait ? C'est bien de l'intimité qu'il s'agit dans ces échanges. Il y a toujours un reste : la chose. Elle prévient peut-être l'invivable. Dans ces archives du silence, les trois auteurs déposent leurs mémoires, leurs incertitudes ordinaires et fécondes et leurs vibrations nous pénètrent au ralenti.
Avec eux, recensons nos chutes interminables et hissons-nous à nos échéances. L'écriture est là. Inaccessible. Le miroir renvoie le reflet de quelqu'un qu'on ne reconnaît pas. Comment vivre avec ce qui demeure silencieux ... ? Quel lecteur attend au contact de ces petites foudres si poreuses... ? Je vous ai lu quelque part...
Je vous écris dans nos silences mais soupçonne-t-on vraiment ce que l'on confie... ? Quel est ce dire qui nous tait ? C'est bien de l'intimité qu'il s'agit dans ces échanges. Il y a toujours un reste : la chose. Elle prévient peut-être l'invivable. Dans ces archives du silence, les trois auteurs déposent leurs mémoires, leurs incertitudes ordinaires et fécondes et leurs vibrations nous pénètrent au ralenti.
Avec eux, recensons nos chutes interminables et hissons-nous à nos échéances. L'écriture est là. Inaccessible. Le miroir renvoie le reflet de quelqu'un qu'on ne reconnaît pas. Comment vivre avec ce qui demeure silencieux ... ? Quel lecteur attend au contact de ces petites foudres si poreuses... ? Je vous ai lu quelque part...