Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Depuis plusieurs années, un nombre croissant de fictions occidentales se focalisent sur la figure archétypale du serial killer. Incarnation du mal absolu...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 25 septembre et le 28 septembre
En librairie
Résumé
Depuis plusieurs années, un nombre croissant de fictions occidentales se focalisent sur la figure archétypale du serial killer. Incarnation du mal absolu à la psyché malade, monstre d'intelligence perverse et incontrôlable, être tout à la fois en prise à un sadisme hors norme et à un masochisme affectif d'égale intensité, cette figure du mal est instrumentalisée dans la culture de masse pour laquelle elle représente une conception fortement anxiogène de la mort, de la souffrance, de la terreur. Pourtant, cette figure symptomatique de l'époque est contournée : ses pensées et ses actes sont évoqués de manière hyperbolique, sensationnelle, fictionnelle. Ce n'est pas le cas dans Je tue donc je suis. Voici, pour la première fois, une incursion authentique ("cash", dirait-on) dans l'esprit des hommes qui incarnent le mal absolu. Dessins, témoignages, écrits, rassemblés et présentés avec rigueur et précision, à plusieurs années-lumière de leur représentation fictive : totalement réelle...