Prix Nobel de Littérature
"Je te dis toute ma tendresse". Correspondance (1926 - 1970) avec Claude Mauriac
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- Nombre de pages704
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.81 kg
- Dimensions15,0 cm × 22,0 cm × 4,0 cm
- ISBN978-2-226-50575-0
- EAN9782226505750
- Date de parution05/11/2025
- ÉditeurAlbin Michel
- Directeur de publicationPhilippe Baudorre
Résumé
"Je te dis toute ma tendresse et suis ton vieux papa" , écrit le 1er juin 1929 François Mauriac à son fils aîné Claude, alors âgé de 15 ans. Rassemblant la correspondance que père et fils ont échangée de 1926 à 1970, ce volume montre la manière dont leur relation se construit, au fil des ans, s'approfondit et s'exprime. Au delà de la personnalité des deux écrivains, cette correspondance nous fait pénétrer dans l'intimité d'une famille où les parents et leurs quatre enfants, puis leurs conjoints, et bientôt plusieurs petits-enfants, partagent, avec leurs nombreux cousins et amis, vacances, voyages et séjours dans les propriétés de Vémars ou de Malagar.
Elle redonne notamment sa juste place à celle qui constitue, pour Claude comme pour François, le socle de la famille, Jeanne Mauriac, l'épouse et la mère bien aimée. Par l'ampleur de la période couverte, ce roman familial s'inscrit enfin dans une Histoire collective à laquelle les Mauriac sont confrontés comme toutes les familles françaises : la montée des périls, la guerre et l'Occupation, l'après-guerre, ses drames, ses tensions et son renouveau politique et culturel.
On y croise André Gide, Jean Cocteau et le général de Gaulle, on y parle musique et cinéma, on y feuillette L'Express, Le Figaro et le Nouveau roman. Philippe Baudorre, maître d'oeuvre du livre, est professeur émérite de littérature française à l'Université Bordeaux-Montaigne.
Elle redonne notamment sa juste place à celle qui constitue, pour Claude comme pour François, le socle de la famille, Jeanne Mauriac, l'épouse et la mère bien aimée. Par l'ampleur de la période couverte, ce roman familial s'inscrit enfin dans une Histoire collective à laquelle les Mauriac sont confrontés comme toutes les familles françaises : la montée des périls, la guerre et l'Occupation, l'après-guerre, ses drames, ses tensions et son renouveau politique et culturel.
On y croise André Gide, Jean Cocteau et le général de Gaulle, on y parle musique et cinéma, on y feuillette L'Express, Le Figaro et le Nouveau roman. Philippe Baudorre, maître d'oeuvre du livre, est professeur émérite de littérature française à l'Université Bordeaux-Montaigne.
"Je te dis toute ma tendresse et suis ton vieux papa" , écrit le 1er juin 1929 François Mauriac à son fils aîné Claude, alors âgé de 15 ans. Rassemblant la correspondance que père et fils ont échangée de 1926 à 1970, ce volume montre la manière dont leur relation se construit, au fil des ans, s'approfondit et s'exprime. Au delà de la personnalité des deux écrivains, cette correspondance nous fait pénétrer dans l'intimité d'une famille où les parents et leurs quatre enfants, puis leurs conjoints, et bientôt plusieurs petits-enfants, partagent, avec leurs nombreux cousins et amis, vacances, voyages et séjours dans les propriétés de Vémars ou de Malagar.
Elle redonne notamment sa juste place à celle qui constitue, pour Claude comme pour François, le socle de la famille, Jeanne Mauriac, l'épouse et la mère bien aimée. Par l'ampleur de la période couverte, ce roman familial s'inscrit enfin dans une Histoire collective à laquelle les Mauriac sont confrontés comme toutes les familles françaises : la montée des périls, la guerre et l'Occupation, l'après-guerre, ses drames, ses tensions et son renouveau politique et culturel.
On y croise André Gide, Jean Cocteau et le général de Gaulle, on y parle musique et cinéma, on y feuillette L'Express, Le Figaro et le Nouveau roman. Philippe Baudorre, maître d'oeuvre du livre, est professeur émérite de littérature française à l'Université Bordeaux-Montaigne.
Elle redonne notamment sa juste place à celle qui constitue, pour Claude comme pour François, le socle de la famille, Jeanne Mauriac, l'épouse et la mère bien aimée. Par l'ampleur de la période couverte, ce roman familial s'inscrit enfin dans une Histoire collective à laquelle les Mauriac sont confrontés comme toutes les familles françaises : la montée des périls, la guerre et l'Occupation, l'après-guerre, ses drames, ses tensions et son renouveau politique et culturel.
On y croise André Gide, Jean Cocteau et le général de Gaulle, on y parle musique et cinéma, on y feuillette L'Express, Le Figaro et le Nouveau roman. Philippe Baudorre, maître d'oeuvre du livre, est professeur émérite de littérature française à l'Université Bordeaux-Montaigne.






















