Je suis une Kisaeng
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- Nombre de pages240
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.338 kg
- Dimensions16,5 cm × 20,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-36057-377-6
- EAN9782360573776
- Date de parution20/09/2023
- CollectionMonde coréen
- ÉditeurL'Asiathèque
- TraducteurEun-Jin Jeong
- TraducteurJacques Batilliot
Résumé
L'ouvrage Je suis une kisaeng, est un des rares témoignages directs de kisaeng qui racontent la vie de ces courtisanes, leurs désirs, leurs rêves et leurs frustrations. Par leur nombre et le rôle qu'elles jouaient, les kisaeng occupaient une place importante dans la société coréenne jusqu'au début du XXe siècle. Leur contribution à la vie culturelle - musique, danse et littérature - était inégalable.
Pourtant les écrits qui nous renseignent sur leur vie ou nous font entendre leur voix sont très rares. Cet ouvrage est composé de Sosurok, recueil d'oeuvres poétiques de kisaeng dans lesquelles celles-ci s'expriment en leur nom, et de divers poèmes autour des kisaeng - riches en informations eux aussi - provenant de fonds universitaires et de collections privées. Ces documents, annotés et commentés par Jung Byung Sul, nous permettent d'entendre les voix des courtisanes de la dynastie Chosôn (jusqu'à 1910) ; elles y dépeignent leurs états d'âme et leurs aspirations.
Leurs plaintes se fondent sur une idée très simple : une kisaeng est aussi un être humain. Si elles se sentent obligées de marteler cette évidence, c'est qu'elles vivent dans un monde où leur humanité est ignorée ou niée. Leurs cris ne s'adressent pas seulement aux hommes, mais aussi aux autres femmes.
Pourtant les écrits qui nous renseignent sur leur vie ou nous font entendre leur voix sont très rares. Cet ouvrage est composé de Sosurok, recueil d'oeuvres poétiques de kisaeng dans lesquelles celles-ci s'expriment en leur nom, et de divers poèmes autour des kisaeng - riches en informations eux aussi - provenant de fonds universitaires et de collections privées. Ces documents, annotés et commentés par Jung Byung Sul, nous permettent d'entendre les voix des courtisanes de la dynastie Chosôn (jusqu'à 1910) ; elles y dépeignent leurs états d'âme et leurs aspirations.
Leurs plaintes se fondent sur une idée très simple : une kisaeng est aussi un être humain. Si elles se sentent obligées de marteler cette évidence, c'est qu'elles vivent dans un monde où leur humanité est ignorée ou niée. Leurs cris ne s'adressent pas seulement aux hommes, mais aussi aux autres femmes.
L'ouvrage Je suis une kisaeng, est un des rares témoignages directs de kisaeng qui racontent la vie de ces courtisanes, leurs désirs, leurs rêves et leurs frustrations. Par leur nombre et le rôle qu'elles jouaient, les kisaeng occupaient une place importante dans la société coréenne jusqu'au début du XXe siècle. Leur contribution à la vie culturelle - musique, danse et littérature - était inégalable.
Pourtant les écrits qui nous renseignent sur leur vie ou nous font entendre leur voix sont très rares. Cet ouvrage est composé de Sosurok, recueil d'oeuvres poétiques de kisaeng dans lesquelles celles-ci s'expriment en leur nom, et de divers poèmes autour des kisaeng - riches en informations eux aussi - provenant de fonds universitaires et de collections privées. Ces documents, annotés et commentés par Jung Byung Sul, nous permettent d'entendre les voix des courtisanes de la dynastie Chosôn (jusqu'à 1910) ; elles y dépeignent leurs états d'âme et leurs aspirations.
Leurs plaintes se fondent sur une idée très simple : une kisaeng est aussi un être humain. Si elles se sentent obligées de marteler cette évidence, c'est qu'elles vivent dans un monde où leur humanité est ignorée ou niée. Leurs cris ne s'adressent pas seulement aux hommes, mais aussi aux autres femmes.
Pourtant les écrits qui nous renseignent sur leur vie ou nous font entendre leur voix sont très rares. Cet ouvrage est composé de Sosurok, recueil d'oeuvres poétiques de kisaeng dans lesquelles celles-ci s'expriment en leur nom, et de divers poèmes autour des kisaeng - riches en informations eux aussi - provenant de fonds universitaires et de collections privées. Ces documents, annotés et commentés par Jung Byung Sul, nous permettent d'entendre les voix des courtisanes de la dynastie Chosôn (jusqu'à 1910) ; elles y dépeignent leurs états d'âme et leurs aspirations.
Leurs plaintes se fondent sur une idée très simple : une kisaeng est aussi un être humain. Si elles se sentent obligées de marteler cette évidence, c'est qu'elles vivent dans un monde où leur humanité est ignorée ou niée. Leurs cris ne s'adressent pas seulement aux hommes, mais aussi aux autres femmes.