Je suis une bourgeoise humiliée

Par : Clotilde
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  • Nombre de pages128
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.092 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,8 cm × 0,9 cm
  • ISBN978-2-7448-2193-6
  • EAN9782744821936
  • Date de parution13/03/2019
  • CollectionConfessions érotiques
  • ÉditeurMedia 1000

Résumé

Clotilde, jeune bourgeoise, s'ennuie avec son mari. Heureusement qu'il y a sa belle-soeur, Myriam, une jeune délurée qui aime autant les dames que les messieurs. Elle va vite prendre sous son aile (et sous ses doigts et sa langue bien pendue) la timide épouse de son frère. Après l'avoir initiée aux jeux de dames, elle l'habitue peu à peu à s'exhiber aux représentants du sexe fort. Cela commence dans les taxis : Clotilde doit apprendre, en feignant de ne rien remarquer, à montrer au chauffeur qui se rince l'oeil dans le rétro, ce qu'une dame ne doit jamais montrer qu'à son mari et son docteur.
Elle se montre, elle se touche, toujours "distraitement". Myriam s'amuse souvent en taxi avec elle. Après quoi, elle l'emmène dans un bar très discret où des habitués n'ont pas les yeux dans leurs poches. Il y a un petit salon particulier à l'étage... Faut-il vous raconter la suite ? Certainement pas. Je vous laisse le plaisir de la découvrir...
Clotilde, jeune bourgeoise, s'ennuie avec son mari. Heureusement qu'il y a sa belle-soeur, Myriam, une jeune délurée qui aime autant les dames que les messieurs. Elle va vite prendre sous son aile (et sous ses doigts et sa langue bien pendue) la timide épouse de son frère. Après l'avoir initiée aux jeux de dames, elle l'habitue peu à peu à s'exhiber aux représentants du sexe fort. Cela commence dans les taxis : Clotilde doit apprendre, en feignant de ne rien remarquer, à montrer au chauffeur qui se rince l'oeil dans le rétro, ce qu'une dame ne doit jamais montrer qu'à son mari et son docteur.
Elle se montre, elle se touche, toujours "distraitement". Myriam s'amuse souvent en taxi avec elle. Après quoi, elle l'emmène dans un bar très discret où des habitués n'ont pas les yeux dans leurs poches. Il y a un petit salon particulier à l'étage... Faut-il vous raconter la suite ? Certainement pas. Je vous laisse le plaisir de la découvrir...