Misère de la Kabylie
Grand Format
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Je suis l'homme de la draisine
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- Nombre de pages170
- PrésentationBroché
- Poids0.22 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,0 cm × 1,4 cm
- ISBN978-2-35780-151-6
- EAN9782357801516
- Date de parution01/04/2023
- ÉditeurDomens
Résumé
"Pierrot, je le vois encore, le plus grand d'entre nous, rien du sédentaire intello. Il entrait à peine dans la draisine, sans savoir où étaler son 1, 89 m, 95 kilos avec casque et tenue, quand il devait s'allonger pour chouffer le rail à travers la meurtrière du plancher. Il restait à genoux qu'on dirait qu'il priait. Puissance, assurance - vrai Gibraltar aurait dit Victor. Vos bastos couinaient, nous clouaient à l'intérieur.
Sa première blessure il la reçut quand la mine stoppa la marche dans un fracas de fin de partie. Tout le monde descend au bord du volcan. Il faisait nuit, je vis comme un éclair et commençai à me sentir hors de moi. Au terminus, l'heure du repos arrivait. Sur notre voie sonna celle de la fureur."
Sa première blessure il la reçut quand la mine stoppa la marche dans un fracas de fin de partie. Tout le monde descend au bord du volcan. Il faisait nuit, je vis comme un éclair et commençai à me sentir hors de moi. Au terminus, l'heure du repos arrivait. Sur notre voie sonna celle de la fureur."
"Pierrot, je le vois encore, le plus grand d'entre nous, rien du sédentaire intello. Il entrait à peine dans la draisine, sans savoir où étaler son 1, 89 m, 95 kilos avec casque et tenue, quand il devait s'allonger pour chouffer le rail à travers la meurtrière du plancher. Il restait à genoux qu'on dirait qu'il priait. Puissance, assurance - vrai Gibraltar aurait dit Victor. Vos bastos couinaient, nous clouaient à l'intérieur.
Sa première blessure il la reçut quand la mine stoppa la marche dans un fracas de fin de partie. Tout le monde descend au bord du volcan. Il faisait nuit, je vis comme un éclair et commençai à me sentir hors de moi. Au terminus, l'heure du repos arrivait. Sur notre voie sonna celle de la fureur."
Sa première blessure il la reçut quand la mine stoppa la marche dans un fracas de fin de partie. Tout le monde descend au bord du volcan. Il faisait nuit, je vis comme un éclair et commençai à me sentir hors de moi. Au terminus, l'heure du repos arrivait. Sur notre voie sonna celle de la fureur."
