Je pense, je rumine... Pis alors ? - La Civilisation de la vache

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Yves Paccalet et Gérard Benoit à la Guillaume - Je pense, je rumine... Pis alors  ? - La Civilisation de la vache.
L'homme et la vache vivent ensemble, mais se parlent peu. L'un bavarde, l'autre meugle. Toutefois, il arrive parfois qu'un homme et une vache s'écoutent... Lire la suite
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Résumé

L'homme et la vache vivent ensemble, mais se parlent peu. L'un bavarde, l'autre meugle. Toutefois, il arrive parfois qu'un homme et une vache s'écoutent et se comprennent. En vérité, l'homme dépend de la vache bien davantage que le ruminant n'a besoin de l'homme. La vache nous a fourni son lait, sa viande et sa force de travail. Elle a exercé une énorme influence sur nos représentations sociales, mythologiques, esthétiques, etc.
Au point que, sans exagérer, on peut affirmer que l'homme vit, depuis le Néolithique, dans la "civilisation de la vache".

Caractéristiques

  • Date de parution
    11/10/2011
  • Editeur
  • ISBN
    978-2-35008-042-0
  • EAN
    9782350080420
  • Présentation
    Relié
  • Nb. de pages
    222 pages
  • Poids
    1.57 Kg
  • Dimensions
    25,0 cm × 27,9 cm × 2,9 cm

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À propos des auteurs

Gérard Benoit à la Guillaume aime tamiser les patrimoines régionaux et interpréter leurs singularités tout en s'interrogeant sur l'aménagement de l'espace, sa mutation en territoire. Sa résidence à la frontière franco-hélvétique et sa double nationalité, française et suisse, lui font, en toute affection et sans complaisance, transformer naturellement l'arc jurassien en un atelier privilégié de fabrication d'images.
L'approche esthétique, artistique, politique et géopoétique de ses sujets correspond au socle de son travail ; le produit de celui-ci se manifeste par de nombreuses parutions, expositions et livres photographiques. Ses interprétations typées lui valent des commandes de mandataires exigeants souhaitant un travail artistique d'auteur qui, par son impact, devient de fait un support de communication.
Ses domaines d'intervention couvrent le monde rural et agricole, l'industrie mais aussi l'architecture et l'urbanisme en lien étroit avec leurs acteurs et l'évolution de la société. Plus récemment, un travail sur l'anthropomorphisme l'a conduit vers le bidon à lait (boille, bouille...), le plus joli personnage du genre rencontré. Il en a ainsi agrégé plusieurs centaines autour de ses affections d'origine, le Land Art, les accumulations, la géopoétique; l'ensemble associé à la photographie est mis en scène sous l'égide de "bidons sans frontières" dont il est le photographe- réalisateur.
Yves Paccalet a fait des Etudes de philosophie à l'Ecole normale supérieure de Saint-Cloud. Passionné de nature, il rencontre Jacques-Yves Cousteau en 1972. Pendant 18 ans, il travaille et signe avec lui une vingtaine de livres. II publie ensuite de nombreux ouvrages de nature, de littérature et de philosophie. Il collabore à divers magazines (Terre sauvage, Géo, Nouvel Observateur, Figaro Magazine, Ushuaïa Magazine, etc.), écrit des scénarios de BD et de dessins animés, se consacre au roman (L'Azur! L'Azur !) et à d'autres livres illustrés, récits littéraires, essais philosophiques ou oeuvres poétiques (L'Odeur du soleil dans l'herbe, Humeurs sauvages, Le Bonheur en marchant, Mes plus belles balades en France, Kamtchatka, la terre des origines, La France des légendes, Soigner l'homme, soigner la Terre, L'école de la nature, Voyage au pays des montagnes, Mystères et légendes de la mer, Voyage au pays des fleurs, Forêts de légendes, Extrême Sud, Voyage au pays des mers, Atlantide, rêve et cauchemar, Quatre saisons en France, Légumes oubliés d'hier et d'aujourd'hui, etc.).
Il assure des chroniques pour la radio et travaille à des films documentaires pour la télévision. Après son essai d'humour noir et de colère L'Humanité disparaîtra, bon débarras ! (Prix du pamphlet, 2006), il expose dans Sortie de secours (2007) ses solutions sous la forme de ses "trois utopies". Il donne ensuite Le Grand Roman de la vie (2009), premier tome d'une oeuvre philosophique vouée à ce qu'il appelle son "matérialisme poétique" et son "matérialisme ironique"; le volume suivant s'intitulera Le Grand Roman des hommes.
En 2010, il fait paraître son Dictionnaire énervé de l'écologie : les mots pour le pire. Mai 2011: il publie son "récit cruel", une fiction philosophique et drolatique dans la manière du Candide de Voltaire, qu'il intitule Les Deux Mamelles du bonheur.

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