Je parle de Jérusalem

Par : Arnold Wesker

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  • Nombre de pages108
  • PrésentationBroché
  • Poids0.08 kg
  • Dimensions11,0 cm × 16,5 cm × 0,6 cm
  • ISBN2-07-030368-3
  • EAN9782070303687
  • Date de parution01/06/1969
  • CollectionThéâtre du monde entier
  • ÉditeurGallimard

Résumé

Je parle de Jérusalem conclut la trilogie dont Soupe de poulet à l'orge et Racines forment les deux premiers volets. Nous somme en 1956, et tous les enfants Kahn sont réunis au domicile familial. Ada et David ont échoué dans leur retour à la terre, et, désenchantés, reviennent à la ville. Ronnie ressemble de plus en plus à son père, que son inadaptation à la société et sa paresse ont conduit à sa perte.
Seule la mère, Sarah, n'a pas perdu cette foi qu'elle appelle communisme, et qui la pousse à vivre dans le seul but d'améliorer la société à laquelle elle appartient. L'unité de cette trilogie réside dans l'évolution du désenchantement des ouvriers qui ont cru à une révolution sociale au lendemain de la dernière guerre et qui se heurtent à l'"establishment". Ce théâtre, où la critique politique et sociale est toujours présente, n'est pas un théâtre de la violence.
Les personnages de Wesker sont chaleureux, attachants, peints avec beaucoup d'humour et de tendresse.
Je parle de Jérusalem conclut la trilogie dont Soupe de poulet à l'orge et Racines forment les deux premiers volets. Nous somme en 1956, et tous les enfants Kahn sont réunis au domicile familial. Ada et David ont échoué dans leur retour à la terre, et, désenchantés, reviennent à la ville. Ronnie ressemble de plus en plus à son père, que son inadaptation à la société et sa paresse ont conduit à sa perte.
Seule la mère, Sarah, n'a pas perdu cette foi qu'elle appelle communisme, et qui la pousse à vivre dans le seul but d'améliorer la société à laquelle elle appartient. L'unité de cette trilogie réside dans l'évolution du désenchantement des ouvriers qui ont cru à une révolution sociale au lendemain de la dernière guerre et qui se heurtent à l'"establishment". Ce théâtre, où la critique politique et sociale est toujours présente, n'est pas un théâtre de la violence.
Les personnages de Wesker sont chaleureux, attachants, peints avec beaucoup d'humour et de tendresse.