Je ne vis pas dans un jardin de roses

Carranza maría Mercedes

Alexandre Lecoultre

(Traducteur)

,

Thierry Gillyboeuf

(Préfacier)

Note moyenne 
María Mercedes Carranza est une figure majeure de la poésie A­latino-américaine du XXe siècle, tout comme Alejandra A­Pizarnik ou Alfonsina Storni.... Lire la suite
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Résumé

María Mercedes Carranza est une figure majeure de la poésie A­latino-américaine du XXe siècle, tout comme Alejandra A­Pizarnik ou Alfonsina Storni. Dans un contexte politique et A­social A­dominé par la violence, sa voix résiste. Parlant du familier et du A­quotidien, elle ose nommer ce qui est intime et dénoncer la guerre. Elle vient dire avec lucidité la douleur d'être soi et la A­vanité des grands mots.
En abordant la mort, l'amour et l'histoire, son A­engagement A­poétique touche le coeur même de l'existence, où se A­côtoient la présence et l'absence dans un A­incessant jeu de miroirs. Elle s'adresse avec tendresse ou ironie à A­Quevedo, Ulysse, Dylan A­Thomas ou Pavese, aux êtres chers, à elle-même et finalement à nous. Malgré l'immense solitude qui se dégage de ses poèmes, une force constante traverse toute sa poésie et nous A­atteint aujourd'hui par-delà les mers et le temps.
Préface de Thierry Gillyboeuf.

Caractéristiques

  • Date de parution
    31/01/2024
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    978-2-88978-004-4
  • EAN
    9782889780044
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    1 pages
  • Poids
    0.203 Kg
  • Dimensions
    13,0 cm × 20,0 cm × 1,3 cm

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L'éditeur en parle

María Mercedes Carranza est une figure majeure de la poésie ­latino-américaine du XXe siècle, tout comme Alejandra ­Pizarnik ou Alfonsina Storni. Dans un contexte politique et ­social ­dominé par la violence, sa voix résiste. Parlant du familier et du ­quotidien, elle ose nommer ce qui est intime et dénoncer la guerre. Elle vient dire avec lucidité la douleur d'être soi et la ­vanité des grands mots.
En abordant la mort, l'amour et l'histoire, son ­engagement ­poétique touche le coeur même de l'existence, où se ­côtoient la présence et l'absence dans un ­incessant jeu de miroirs. Elle s'adresse avec tendresse ou ironie à ­Quevedo, Ulysse, Dylan ­Thomas ou Pavese, aux êtres chers, à elle-même et finalement à nous. Malgré l'immense solitude qui se dégage de ses poèmes, une force constante traverse toute sa poésie et nous ­atteint aujourd'hui par-delà les mers et le temps.
Préface de Thierry Gillyboeuf.

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