Je me souviens d'Auschwitz.... De l'étoile de shérif à la croix de vie

Par : Paul Sobol

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  • Nombre de pages217
  • PrésentationBroché
  • Poids0.412 kg
  • Dimensions15,6 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-87386-680-8
  • EAN9782873866808
  • Date de parution09/12/2010
  • ÉditeurRacine Lannoo
  • PréfacierYannis Thanassekos
  • PréfacierPhilippe Mesnard
  • PostfacierJean Raulier

Résumé

Issu d'une famille ouvrière d'origine juive polonaise, Paul Sobol a passé son enfance à Bruxelles. En 1940, les Allemands envahissent la Belgique. Sa famille parvient à se cacher pendant deux ans après l'obligation du port de l'étoile jaune. Mais, peu après le débarquement des Alliés en juin 1944, elle est dénoncée et arrêtée par la Gestapo. Paul est déporté au camp de transit de Malines, puis à Auschwitz-Birkenau. Il y est affecté comme menuisier dans un commando chargé de petits travaux pour les SS et parvient à s'y organiser pour survivre. A l'approche des forces alliées, en 1945, les Allemands évacuent les camps de Pologne vers l'Allemagne et contraignent les déportés à une " marche de la mort ". Les survivants sont ensuite parqués dans des wagons bondés, en partance pour Dachau, où les déportés " s'entretuent pour survivre ". Arrivés affamés dans un camp annexe de Dachau, ils repartent en train vers le camp principal. Profitant alors d'un bombardement allié, Paul prend la fuite. Il trouve refuge dans un village, auprès de prisonniers français. Il est libéré par les Américains le lei mai. Revenu des camps avec sa soeur et laissant derrière lui ses parents et son frère, il a réussi l'exploit de conserver, tout au long de son calvaire, la photo d'une jeune fille rencontrée à Bruxelles, qui deviendra son épouse après la guerre.
Issu d'une famille ouvrière d'origine juive polonaise, Paul Sobol a passé son enfance à Bruxelles. En 1940, les Allemands envahissent la Belgique. Sa famille parvient à se cacher pendant deux ans après l'obligation du port de l'étoile jaune. Mais, peu après le débarquement des Alliés en juin 1944, elle est dénoncée et arrêtée par la Gestapo. Paul est déporté au camp de transit de Malines, puis à Auschwitz-Birkenau. Il y est affecté comme menuisier dans un commando chargé de petits travaux pour les SS et parvient à s'y organiser pour survivre. A l'approche des forces alliées, en 1945, les Allemands évacuent les camps de Pologne vers l'Allemagne et contraignent les déportés à une " marche de la mort ". Les survivants sont ensuite parqués dans des wagons bondés, en partance pour Dachau, où les déportés " s'entretuent pour survivre ". Arrivés affamés dans un camp annexe de Dachau, ils repartent en train vers le camp principal. Profitant alors d'un bombardement allié, Paul prend la fuite. Il trouve refuge dans un village, auprès de prisonniers français. Il est libéré par les Américains le lei mai. Revenu des camps avec sa soeur et laissant derrière lui ses parents et son frère, il a réussi l'exploit de conserver, tout au long de son calvaire, la photo d'une jeune fille rencontrée à Bruxelles, qui deviendra son épouse après la guerre.