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Son père pendu, sa mère suppliciée au gibier de Montfaucon, François Villon connaît les pires atrocités de la vie dès son plus jeune âge. Recueilli par le chanoine de Saint-Benoît, il est envoyé dans le meilleur collège de Paris. Mais à ses études, il préfère la poésie, l’hypocras et la fornication. Poète et ribaud à la fois, il commettra tous les actes possibles, des plus sublimes aux plus abominables.
terrible et magnifique
Quelle époque que celle de François Villon !!!
Comment tant de noirceur et de cruauté ont-elles pu engendrer tant de beauté ?
Peut-être est-ce justement cela, me direz-vous ?!
Mais tout le monde ne devient pas poète dans l'adversité ! Quelle est cette mystérieuse alchimie qui fait que l'on transcende, que l'on magnifie sa douleur, que l'on a la force, ou non, de jouir de la vie, de la prendre à pleines mains ...