Je crois à la Surprise !. Introduction à une théologie de la surprise

Par : Yves Millou
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  • Nombre de pages332
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.569 kg
  • Dimensions15,0 cm × 24,0 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-14-026601-0
  • EAN9782140266010
  • Date de parution27/06/2022
  • CollectionReligions et spiritualité
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Croire en la surprise : comment, pourquoi ? Parce qu'accepter d'être surpris, c'est sortir de sa tranquillité, d'être confronté à l'autre, à l'irruption de nouveauté, au souffle imprévisible. L'idée maîtresse de ce travail est la conviction que Dieu se révèle en nous surprenant, en attirant notre attention sur la révélation qu'il fait de lui-même grâce à cette mise en scène de son mystère. Création, Incarnation, Résurrection, Trinité, Eglise : les grands moments de cette économie divine sont autant de secousses de notre quotidien, autant de Surprises auxquelles notre coeur peut répondre en se tournant vers elles, étant entendu que l'homme attend et espère la surprise divine, mais qu'il doit y être éduqué.
Et s'il fallait accepter d'être surpris pour être sauvé ? S'il fallait se mettre en quête de ce Dieu qui se cache pour mieux être découvert ? La théologie chrétienne ne devrait-elle pas inclure cette propédeutique de la Surprise pour mieux parler de Dieu ?
Croire en la surprise : comment, pourquoi ? Parce qu'accepter d'être surpris, c'est sortir de sa tranquillité, d'être confronté à l'autre, à l'irruption de nouveauté, au souffle imprévisible. L'idée maîtresse de ce travail est la conviction que Dieu se révèle en nous surprenant, en attirant notre attention sur la révélation qu'il fait de lui-même grâce à cette mise en scène de son mystère. Création, Incarnation, Résurrection, Trinité, Eglise : les grands moments de cette économie divine sont autant de secousses de notre quotidien, autant de Surprises auxquelles notre coeur peut répondre en se tournant vers elles, étant entendu que l'homme attend et espère la surprise divine, mais qu'il doit y être éduqué.
Et s'il fallait accepter d'être surpris pour être sauvé ? S'il fallait se mettre en quête de ce Dieu qui se cache pour mieux être découvert ? La théologie chrétienne ne devrait-elle pas inclure cette propédeutique de la Surprise pour mieux parler de Dieu ?