Jackie Kennedy chez Joséphine. De Malmaison à la Maison-Blanche (1961-1963)

Par : Nicolas Personne
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  • Nombre de pages64
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.285 kg
  • Dimensions17,0 cm × 24,0 cm × 0,7 cm
  • ISBN978-2-37289-004-5
  • EAN9782372890045
  • Date de parution15/01/2020
  • ÉditeurLe Charmoiset (Editions)
  • PréfacierAmaury Lefébure
  • PréfacierNicole Salinger

Résumé

Le 2 juin 1961, le château de Malmaison reçoit une invitée de marque en la personne de Jacqueline Kennedy, venue en France avec son époux à l'invitation du général de Gaulle. Au premier abord, ce rendez-vous peut sembler anodin, une ligne de plus ajoutée sur un programme officiel, une anecdote dans l'histoire déjà riche d'un château célèbre. Pourtant aux yeux de la jeune Première dame des Etats-Unis, cette visite privée relève d'une importance toute particulière.
Elle entre en effet dans un ambitieux projet entamé quelques mois plus tôt, visant à redonner tout son lustre à un autre lieu emblématique, et non des moindres : la Maison-Blanche. Engageant des mesures jusque-là inédites, Jacqueline Kennedy transforme la résidence officielle quelque peu négligée en un monument historique aux collections protégées, véritable vitrine universelle de l'Histoire américaine.
Chargé, officieusement, de cette restauration médiatisée, un Français, Stéphane Boudin, patron de la Maison Jansen. Le décorateur, à l'expertise inégalée, remodèle ainsi de manière quasi scientifique les salons de la Maison-Blanche, devenus des Period Rooms à la gloire des arts décoratifs du début du XIXe siècle. Guidant bien des choix dans cette mise en scène de Camelot, la présidence de John F. Kennedy devenue mythique, le château de Malmaison se révèle alors comme étant une source d'inspiration insoupçonnée, berceau de préceptes décoratifs incontournables encouragés en leur temps par une autre grande dame du style : l'impératrice Joséphine.
Le 2 juin 1961, le château de Malmaison reçoit une invitée de marque en la personne de Jacqueline Kennedy, venue en France avec son époux à l'invitation du général de Gaulle. Au premier abord, ce rendez-vous peut sembler anodin, une ligne de plus ajoutée sur un programme officiel, une anecdote dans l'histoire déjà riche d'un château célèbre. Pourtant aux yeux de la jeune Première dame des Etats-Unis, cette visite privée relève d'une importance toute particulière.
Elle entre en effet dans un ambitieux projet entamé quelques mois plus tôt, visant à redonner tout son lustre à un autre lieu emblématique, et non des moindres : la Maison-Blanche. Engageant des mesures jusque-là inédites, Jacqueline Kennedy transforme la résidence officielle quelque peu négligée en un monument historique aux collections protégées, véritable vitrine universelle de l'Histoire américaine.
Chargé, officieusement, de cette restauration médiatisée, un Français, Stéphane Boudin, patron de la Maison Jansen. Le décorateur, à l'expertise inégalée, remodèle ainsi de manière quasi scientifique les salons de la Maison-Blanche, devenus des Period Rooms à la gloire des arts décoratifs du début du XIXe siècle. Guidant bien des choix dans cette mise en scène de Camelot, la présidence de John F. Kennedy devenue mythique, le château de Malmaison se révèle alors comme étant une source d'inspiration insoupçonnée, berceau de préceptes décoratifs incontournables encouragés en leur temps par une autre grande dame du style : l'impératrice Joséphine.