J'habite donc je suis. Pour un nouveau rapport au logement
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages93
- PrésentationBroché
- Poids0.13 kg
- Dimensions12,2 cm × 21,5 cm × 0,5 cm
- ISBN2-8040-2040-1
- EAN9782804020408
- Date de parution21/02/2005
- CollectionQuartier libre
- ÉditeurLabor Editions
Résumé
Ainsi que s'accordent à le dire tous les observateurs, notre pays connaît actuellement une grave crise du logement. Une multitude de facteurs est susceptible d'expliquer cette situation. La logique économique n'est pas seule en cause. Le droit, lui-même, contribue à cet état de fait, parce qu'il produit des réglementations inadaptées. En dépit du foisonnement actuel des initiatives légales, les populations fragilisées ne parviennent pas à trouver dans leur logement les conditions d'un juste épanouissement individuel et familial.
C'est que la puissance publique se contente de leur conférer une emprise précaire sur leur lieu de vie, alors qu'ils recherchent une véritable maîtrise de leur habitat. Impliquant, notamment, un pouvoir de gestion sur un bâti appropriable par ses occupants, cette maîtrise ne saurait être trouvée dans le parc locatif social, par exemple. Loin, dès lors, de se dissiper, le malaise perdure et enfle.
C'est que la puissance publique se contente de leur conférer une emprise précaire sur leur lieu de vie, alors qu'ils recherchent une véritable maîtrise de leur habitat. Impliquant, notamment, un pouvoir de gestion sur un bâti appropriable par ses occupants, cette maîtrise ne saurait être trouvée dans le parc locatif social, par exemple. Loin, dès lors, de se dissiper, le malaise perdure et enfle.
Ainsi que s'accordent à le dire tous les observateurs, notre pays connaît actuellement une grave crise du logement. Une multitude de facteurs est susceptible d'expliquer cette situation. La logique économique n'est pas seule en cause. Le droit, lui-même, contribue à cet état de fait, parce qu'il produit des réglementations inadaptées. En dépit du foisonnement actuel des initiatives légales, les populations fragilisées ne parviennent pas à trouver dans leur logement les conditions d'un juste épanouissement individuel et familial.
C'est que la puissance publique se contente de leur conférer une emprise précaire sur leur lieu de vie, alors qu'ils recherchent une véritable maîtrise de leur habitat. Impliquant, notamment, un pouvoir de gestion sur un bâti appropriable par ses occupants, cette maîtrise ne saurait être trouvée dans le parc locatif social, par exemple. Loin, dès lors, de se dissiper, le malaise perdure et enfle.
C'est que la puissance publique se contente de leur conférer une emprise précaire sur leur lieu de vie, alors qu'ils recherchent une véritable maîtrise de leur habitat. Impliquant, notamment, un pouvoir de gestion sur un bâti appropriable par ses occupants, cette maîtrise ne saurait être trouvée dans le parc locatif social, par exemple. Loin, dès lors, de se dissiper, le malaise perdure et enfle.