J'avais peur que les morts soient là
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- Nombre de pages272
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.35 kg
- Dimensions13,5 cm × 18,0 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-490356-34-8
- EAN9782490356348
- Date de parution03/11/2022
- CollectionLes pas perdus
- ÉditeurChemin de Fer (Editions du)
- IllustrateurPhilippe Dummont
Résumé
Alors que la Cité s'apprête à célébrer l'anniversaire de sa création, le peuple est réuni dans l'euphorie des grands jours. Soudain, d'étranges filaments venus d'on ne sait où se déploient : l'arme des zombies qui anéantit toute vie humaine et qui transforme ceux qu'elle touche en zombies. L'histoire suit quelques survivants, tous plus haut en couleurs les uns que les autres et déjà peu ou prou exclus de la Cité.
Ils vont parvenir à se terrer dans les sous-sols de la ville et tenter d'échapper à l'inéluctable : il y a Ether la jardinière ventriloque, Spé l'Indien et son amoureux Bison le réparateur, Nomos le gardien de la Représentation, Marceau le cantonnier qui construit une ville sous la ville... J'avais peur que les morts soient là poursuit la réflexion entamée par Nathalie Constans avec Je suis pas la bête à manger sur l'effondrement du monde capitaliste et la nécessaire reconstruction, sur ses ruines, d'une communauté nouvelle.
Ici, c'est par l'appropriation des codes du genre (l'évidente référence à la série The walking dead, la division du roman en saisons) qu'elle interroge le destin d'un monde au bord du gouffre. Par son ambition et son ampleur, par ses résonances avec l'actualité récente, J'avais peur que les morts soient là est un récit d'une incroyable inventivité à même de nous aider à penser le monde de demain par le biais de la fiction.
Ils vont parvenir à se terrer dans les sous-sols de la ville et tenter d'échapper à l'inéluctable : il y a Ether la jardinière ventriloque, Spé l'Indien et son amoureux Bison le réparateur, Nomos le gardien de la Représentation, Marceau le cantonnier qui construit une ville sous la ville... J'avais peur que les morts soient là poursuit la réflexion entamée par Nathalie Constans avec Je suis pas la bête à manger sur l'effondrement du monde capitaliste et la nécessaire reconstruction, sur ses ruines, d'une communauté nouvelle.
Ici, c'est par l'appropriation des codes du genre (l'évidente référence à la série The walking dead, la division du roman en saisons) qu'elle interroge le destin d'un monde au bord du gouffre. Par son ambition et son ampleur, par ses résonances avec l'actualité récente, J'avais peur que les morts soient là est un récit d'une incroyable inventivité à même de nous aider à penser le monde de demain par le biais de la fiction.
Alors que la Cité s'apprête à célébrer l'anniversaire de sa création, le peuple est réuni dans l'euphorie des grands jours. Soudain, d'étranges filaments venus d'on ne sait où se déploient : l'arme des zombies qui anéantit toute vie humaine et qui transforme ceux qu'elle touche en zombies. L'histoire suit quelques survivants, tous plus haut en couleurs les uns que les autres et déjà peu ou prou exclus de la Cité.
Ils vont parvenir à se terrer dans les sous-sols de la ville et tenter d'échapper à l'inéluctable : il y a Ether la jardinière ventriloque, Spé l'Indien et son amoureux Bison le réparateur, Nomos le gardien de la Représentation, Marceau le cantonnier qui construit une ville sous la ville... J'avais peur que les morts soient là poursuit la réflexion entamée par Nathalie Constans avec Je suis pas la bête à manger sur l'effondrement du monde capitaliste et la nécessaire reconstruction, sur ses ruines, d'une communauté nouvelle.
Ici, c'est par l'appropriation des codes du genre (l'évidente référence à la série The walking dead, la division du roman en saisons) qu'elle interroge le destin d'un monde au bord du gouffre. Par son ambition et son ampleur, par ses résonances avec l'actualité récente, J'avais peur que les morts soient là est un récit d'une incroyable inventivité à même de nous aider à penser le monde de demain par le biais de la fiction.
Ils vont parvenir à se terrer dans les sous-sols de la ville et tenter d'échapper à l'inéluctable : il y a Ether la jardinière ventriloque, Spé l'Indien et son amoureux Bison le réparateur, Nomos le gardien de la Représentation, Marceau le cantonnier qui construit une ville sous la ville... J'avais peur que les morts soient là poursuit la réflexion entamée par Nathalie Constans avec Je suis pas la bête à manger sur l'effondrement du monde capitaliste et la nécessaire reconstruction, sur ses ruines, d'une communauté nouvelle.
Ici, c'est par l'appropriation des codes du genre (l'évidente référence à la série The walking dead, la division du roman en saisons) qu'elle interroge le destin d'un monde au bord du gouffre. Par son ambition et son ampleur, par ses résonances avec l'actualité récente, J'avais peur que les morts soient là est un récit d'une incroyable inventivité à même de nous aider à penser le monde de demain par le biais de la fiction.