
J'ai suivi mon propre chemin. Un parcours dans le siècle : propros autobiographiques
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- Nombre de pages124
- PrésentationBroché
- Poids0.145 kg
- Dimensions12,5 cm × 19,0 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-35367-022-2
- EAN9782353670222
- Date de parution08/04/2016
- CollectionLes parallèles
- ÉditeurLes Editions sociales
- TraducteurAntony Burlaud
Résumé
Les deux textes de ce livre, mettant en oeuvre cette conception de l'individualité, présentent, en peu de pages, une trajectoire de vie et de pensée qui traverse tout le XXe siècle. Dans le premier texte, Elias retrace avec simplicité son parcours : son enfance de jeune juif allemand dans l'empire prussien ; l'expérience traumatisante et fondatrice de la guerre de 1914-1918 ; sa formation intellectuelle dans l'Allemagne de Weimar ; la montée du nazisme ; l'exil et le lent mûrissement de sa théorie, forgée à l'épreuve de l'histoire ; la reconnaissance tardive, les voyages ; son goût pour l'art ou la poésie.
A plusieurs reprises, Elias ponctue son récit d'aperçus théoriques essentiels à la compréhension de son oeuvre. Le second texte est le discours de réception du prix Adorno, prononcé par Elias en 1977. Pour le sociologue, qui a du fuir l'Allemagne 40 ans plus tôt, c'est une consécration. Elias y évoque la figure d'Adorno, mais il saisit l'occasion pour jeter un regard rétrospectif sur son propre itinéraire.
Il parle de son rapport au marxisme, de sa conception de l'humanisme, des processus de dé-civilisation et de violence qui traversent l'histoire contemporaine, singulièrement en Allemagne. Il défend surtout sa propre conception du travail sociologique, et de la recherche intellectuelle en général.
Les deux textes de ce livre, mettant en oeuvre cette conception de l'individualité, présentent, en peu de pages, une trajectoire de vie et de pensée qui traverse tout le XXe siècle. Dans le premier texte, Elias retrace avec simplicité son parcours : son enfance de jeune juif allemand dans l'empire prussien ; l'expérience traumatisante et fondatrice de la guerre de 1914-1918 ; sa formation intellectuelle dans l'Allemagne de Weimar ; la montée du nazisme ; l'exil et le lent mûrissement de sa théorie, forgée à l'épreuve de l'histoire ; la reconnaissance tardive, les voyages ; son goût pour l'art ou la poésie.
A plusieurs reprises, Elias ponctue son récit d'aperçus théoriques essentiels à la compréhension de son oeuvre. Le second texte est le discours de réception du prix Adorno, prononcé par Elias en 1977. Pour le sociologue, qui a du fuir l'Allemagne 40 ans plus tôt, c'est une consécration. Elias y évoque la figure d'Adorno, mais il saisit l'occasion pour jeter un regard rétrospectif sur son propre itinéraire.
Il parle de son rapport au marxisme, de sa conception de l'humanisme, des processus de dé-civilisation et de violence qui traversent l'histoire contemporaine, singulièrement en Allemagne. Il défend surtout sa propre conception du travail sociologique, et de la recherche intellectuelle en général.