Le narrateur doit écrire un nouveau roman. Mais l’inspiration ne vient pas. Pour la trouver…il boit, il boit, il boit… Mais il boit en compagnie de Duras, Céline, Van Gogh, Yourcenar, Camus, Confucius, Perec, Rousseau, Einstein, et une foultitude d’autres génies.
Ce qui lui permet de nous offrir un roman comme une source inépuisable à laquelle il fait bon se désaltérer. Une fontaine sans glaçon ni faux col, de littérature, de talent et de Beauté. Une contemplation ivre des sommets d’exigences jamais consciemment atteints par ceux qui les écrivent, et bien trop lointains pour ceux qui veulent marcher sur leurs traces.
Un grand moment, drôle et poétique, un bonheur pur de littérature.
« La plus belle cuite de ma vie, vieux bandit ! »
Le narrateur doit écrire un nouveau roman. Mais l’inspiration ne vient pas. Pour la trouver…il boit, il boit, il boit… Mais il boit en compagnie de Duras, Céline, Van Gogh, Yourcenar, Camus, Confucius, Perec, Rousseau, Einstein, et une foultitude d’autres génies.
Ce qui lui permet de nous offrir un roman comme une source inépuisable à laquelle il fait bon se désaltérer. Une fontaine sans glaçon ni faux col, de littérature, de talent et de Beauté. Une contemplation ivre des sommets d’exigences jamais consciemment atteints par ceux qui les écrivent, et bien trop lointains pour ceux qui veulent marcher sur leurs traces.
Un grand moment, drôle et poétique, un bonheur pur de littérature.
« La plus belle cuite de ma vie, vieux bandit ! »