J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir. Il n'est pas si facile de vivre

Par : Christine Arnothy

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  • Nombre de pages286
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.135 kg
  • Dimensions11,1 cm × 17,9 cm × 1,4 cm
  • ISBN2-253-00322-0
  • EAN9782253003229
  • Date de parution15/09/2006
  • CollectionLe Livre de Poche
  • ÉditeurLGF/Livre de Poche

Résumé

Dans le conflit mondial qui ravage le continent européen de 1939 à 1945, la Hongrie est restée longtemps hors des atteintes de la guerre. Et puis, à son tour, elle est en feu. Les Allemands qui y sont entrés en maîtres se sont retranchés dans Budapest et entendent défendre le centre-ville qu'assiègent les Russes. C'est ce siège de deux mois, vécu dans la cave de leur immeuble, pris hors du Danube, sous les feux croisés des belligérants, que raconte Christine Arnothy.
Ils sont là une douzaine à attendre l'avance russe avec l'espoir qu'elle marquera la fin de l'oppression et de l'horreur. Mais bientôt, les parents de Christine décident de quitter le pays. Ils aboutissent dans le camp de réfugiés en Autriche d'où Christine veut s'arracher à tout prix. Cette existence recommencée est le thème de Il n'est pas si facile de vivre qui fait la suite de J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir.
Et sa sobriété même rend le témoignage d'autant plus poignant sur ce que fut le sort de tant de gens, de trop de gens, pendant et après la Seconde Guerre mondiale.
Dans le conflit mondial qui ravage le continent européen de 1939 à 1945, la Hongrie est restée longtemps hors des atteintes de la guerre. Et puis, à son tour, elle est en feu. Les Allemands qui y sont entrés en maîtres se sont retranchés dans Budapest et entendent défendre le centre-ville qu'assiègent les Russes. C'est ce siège de deux mois, vécu dans la cave de leur immeuble, pris hors du Danube, sous les feux croisés des belligérants, que raconte Christine Arnothy.
Ils sont là une douzaine à attendre l'avance russe avec l'espoir qu'elle marquera la fin de l'oppression et de l'horreur. Mais bientôt, les parents de Christine décident de quitter le pays. Ils aboutissent dans le camp de réfugiés en Autriche d'où Christine veut s'arracher à tout prix. Cette existence recommencée est le thème de Il n'est pas si facile de vivre qui fait la suite de J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir.
Et sa sobriété même rend le témoignage d'autant plus poignant sur ce que fut le sort de tant de gens, de trop de gens, pendant et après la Seconde Guerre mondiale.