J'ai les reins solides. Trois p'tites greffes et puis ça ira !

Par : Adeline Guillermet

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  • Nombre de pages170
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.227 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,4 cm
  • ISBN979-10-302-0265-6
  • EAN9791030202656
  • Date de parution17/10/2018
  • ÉditeurFauves éditions

Résumé

Le don d'organe est déjà un sujet lourd, alors écrire dessus quand on ne se sent pas l'âme d'un écrivain est loin d'être une sinécure ! J'ai donc commencé à écrire sans penser à un lecteur précis, j'avais besoin de passer cette étape de ma vie par des mots, j'écrivais pour moi. Décrivant la maladie, le quotidien et les relations humaines comme je les vivais : avec beaucoup d'autodérision et un humour de "malade".
Adeline a été trois fois greffée : Deux "dons" venant de personnes décédées, un venant d'un vivant. Connaître son donneur, voilà qui change tout ! En effet, dans le premier cas, c'est l'attente pour soi, et pour les proches la compassion. Il n'y a rien d'autre à faire. Dans le second cas, c'est l'espoir et la culpabilité. Embarquer un proche dans sa maladie, ça n'est pas anodin. Chacun appréhende la question fatidique : "Tu veux bien me donner un rein ? " Et tous ont des réactions différentes : surprenantes, touchantes, blessantes parfois...
Mais lorsque vous apprenez que votre unique chance de répit est de trouver un donneur dans votre entourage, avez-vous seulement le choix ?
Le don d'organe est déjà un sujet lourd, alors écrire dessus quand on ne se sent pas l'âme d'un écrivain est loin d'être une sinécure ! J'ai donc commencé à écrire sans penser à un lecteur précis, j'avais besoin de passer cette étape de ma vie par des mots, j'écrivais pour moi. Décrivant la maladie, le quotidien et les relations humaines comme je les vivais : avec beaucoup d'autodérision et un humour de "malade".
Adeline a été trois fois greffée : Deux "dons" venant de personnes décédées, un venant d'un vivant. Connaître son donneur, voilà qui change tout ! En effet, dans le premier cas, c'est l'attente pour soi, et pour les proches la compassion. Il n'y a rien d'autre à faire. Dans le second cas, c'est l'espoir et la culpabilité. Embarquer un proche dans sa maladie, ça n'est pas anodin. Chacun appréhende la question fatidique : "Tu veux bien me donner un rein ? " Et tous ont des réactions différentes : surprenantes, touchantes, blessantes parfois...
Mais lorsque vous apprenez que votre unique chance de répit est de trouver un donneur dans votre entourage, avez-vous seulement le choix ?