J'ai échappé au massacre de l'Université du Burundi. 11 juin 1995

Par : Alain-Aimé Nyamitwe

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  • Nombre de pages200
  • PrésentationBroché
  • Poids0.21 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,2 cm
  • ISBN2-7475-9923-X
  • EAN9782747599238
  • Date de parution01/02/2006
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Le Burundi reste un mystère pour les étrangers qui le connaissent et même pour les Burundais qui y vivent. Aux fausses apparences de calme et de paix, des hommes et des femmes ont éliminé leurs compatriotes, à plusieurs reprises dans les très récentes années. Dans le silence total d'un monde qui assiste par médias interposés à des hécatombes dont il n'a que faire. L'auteur évoque ici le massacre du 11 juin 1995 qui, au bas mot, a coûté la vie à une centaine d'étudiants Hutu.
Il relate sa douloureuse expérience de la crise qui a secoué l'université du Burundi qu'il a fréquentée durant les années 1992-1995. Celles-ci correspondent à la mort du Président Melchior Ndadaye et au début de la guerre civile au Burundi. Jeté en prison, il y a côtoyé des dignitaires Hutu, de loin le "peuple majoritaire" de la prison de Mpimba. Ils y cohabitaient, pacifiquement d'ailleurs, avec des présumés putschistes du 21 octobre 1993.
L'auteur en appelle enfin au surpassement des uns et des autres : le pardon et l'amour du prochain.
Le Burundi reste un mystère pour les étrangers qui le connaissent et même pour les Burundais qui y vivent. Aux fausses apparences de calme et de paix, des hommes et des femmes ont éliminé leurs compatriotes, à plusieurs reprises dans les très récentes années. Dans le silence total d'un monde qui assiste par médias interposés à des hécatombes dont il n'a que faire. L'auteur évoque ici le massacre du 11 juin 1995 qui, au bas mot, a coûté la vie à une centaine d'étudiants Hutu.
Il relate sa douloureuse expérience de la crise qui a secoué l'université du Burundi qu'il a fréquentée durant les années 1992-1995. Celles-ci correspondent à la mort du Président Melchior Ndadaye et au début de la guerre civile au Burundi. Jeté en prison, il y a côtoyé des dignitaires Hutu, de loin le "peuple majoritaire" de la prison de Mpimba. Ils y cohabitaient, pacifiquement d'ailleurs, avec des présumés putschistes du 21 octobre 1993.
L'auteur en appelle enfin au surpassement des uns et des autres : le pardon et l'amour du prochain.