Itinéraire sentimental d'un Breton en pays de France, 1946-2006
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- Nombre de pages258
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.34 kg
- Dimensions13,5 cm × 22,0 cm × 2,0 cm
- ISBN2-296-01325-2
- EAN9782296013254
- Date de parution01/09/2006
- CollectionHistoire de vie et formation
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierNorbert Chatillon
- PostfacierJean-Louis Le Grand
Résumé
"Tu vois où les maçons n'ont pas mis de pierres... Alors, ta valise et de la route ! " C'est par ces mots que mon père me montra le chemin de la Liberté. Je ne les compris véritablement que plus tard. Au fil des errances territoriales, professionnelles, sentimentales et de la permanence de l'amitié, je me suis construit une identité nomade, la moins dépendante possible des schémas d'autorité, de pouvoir ou de domination.
Pion, instituteur, chargé de cours à l'Université, "nègre", formateur, j'ai connu les cours par correspondance du CNTE de l'époque, les cours du soir, la validation des acquis de l'expérience, le passage en études doctorales. Deux idées-forces sont portées par cette histoire de vie. L'idée qu'en chaque individu existe "un Mozart qu'on assassine" ; "on" entendu au sens des configurations sociales, famille, école, institutions, entreprises...
et que le savoir expérientiel de la vie réussit à sauver le sujet de cette mort symbolique voire réelle. L'idée également qu'un parcours de vie est aussi objet de désir et d'affects. Une affaire de liens, d'écorchures, de chutes et de renaissances. Une histoire de vie qui donne toute sa place au désir, à la sexualité, au sentiment. Une approche encore taboue dans le champ des Sciences de l'Education.
Un itinéraire en forme d'éducation sentimentale...
Pion, instituteur, chargé de cours à l'Université, "nègre", formateur, j'ai connu les cours par correspondance du CNTE de l'époque, les cours du soir, la validation des acquis de l'expérience, le passage en études doctorales. Deux idées-forces sont portées par cette histoire de vie. L'idée qu'en chaque individu existe "un Mozart qu'on assassine" ; "on" entendu au sens des configurations sociales, famille, école, institutions, entreprises...
et que le savoir expérientiel de la vie réussit à sauver le sujet de cette mort symbolique voire réelle. L'idée également qu'un parcours de vie est aussi objet de désir et d'affects. Une affaire de liens, d'écorchures, de chutes et de renaissances. Une histoire de vie qui donne toute sa place au désir, à la sexualité, au sentiment. Une approche encore taboue dans le champ des Sciences de l'Education.
Un itinéraire en forme d'éducation sentimentale...
"Tu vois où les maçons n'ont pas mis de pierres... Alors, ta valise et de la route ! " C'est par ces mots que mon père me montra le chemin de la Liberté. Je ne les compris véritablement que plus tard. Au fil des errances territoriales, professionnelles, sentimentales et de la permanence de l'amitié, je me suis construit une identité nomade, la moins dépendante possible des schémas d'autorité, de pouvoir ou de domination.
Pion, instituteur, chargé de cours à l'Université, "nègre", formateur, j'ai connu les cours par correspondance du CNTE de l'époque, les cours du soir, la validation des acquis de l'expérience, le passage en études doctorales. Deux idées-forces sont portées par cette histoire de vie. L'idée qu'en chaque individu existe "un Mozart qu'on assassine" ; "on" entendu au sens des configurations sociales, famille, école, institutions, entreprises...
et que le savoir expérientiel de la vie réussit à sauver le sujet de cette mort symbolique voire réelle. L'idée également qu'un parcours de vie est aussi objet de désir et d'affects. Une affaire de liens, d'écorchures, de chutes et de renaissances. Une histoire de vie qui donne toute sa place au désir, à la sexualité, au sentiment. Une approche encore taboue dans le champ des Sciences de l'Education.
Un itinéraire en forme d'éducation sentimentale...
Pion, instituteur, chargé de cours à l'Université, "nègre", formateur, j'ai connu les cours par correspondance du CNTE de l'époque, les cours du soir, la validation des acquis de l'expérience, le passage en études doctorales. Deux idées-forces sont portées par cette histoire de vie. L'idée qu'en chaque individu existe "un Mozart qu'on assassine" ; "on" entendu au sens des configurations sociales, famille, école, institutions, entreprises...
et que le savoir expérientiel de la vie réussit à sauver le sujet de cette mort symbolique voire réelle. L'idée également qu'un parcours de vie est aussi objet de désir et d'affects. Une affaire de liens, d'écorchures, de chutes et de renaissances. Une histoire de vie qui donne toute sa place au désir, à la sexualité, au sentiment. Une approche encore taboue dans le champ des Sciences de l'Education.
Un itinéraire en forme d'éducation sentimentale...