Iris Clert - singulièrement galeriste
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- Nombre de pages272
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.43 kg
- Dimensions14,8 cm × 21,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-37896-191-6
- EAN9782378961916
- Date de parution22/05/2024
- CollectionFama
- ÉditeurPresses du Réel (Les)
Résumé
Cet essai monographique explore la figure inclassable, fantasque, déroutante et emblématique du monde de l'art contemporain des années soixante qu'est Iris Clert. Sa postérité repose sur la place considérable qu'elle a tenue dans la promotion de l'oeuvre d'Yves Klein et dans l'émergence du groupe d'artistes des Nouveaux-Réalistes. Pourtant, Iris Clert n'est-elle pas la première galeriste à avoir proposé au public parisien des oeuvres d'Ad Reinhardt, Lucio Fontana et Leon Golub ? Puis, à force de renouveler et de transgresser les méthodes et pratiques habituellement assignées à sa profession, n'annonce-t-elle pas l'élan pris par l'art vers la participation et l'événementiel ? N'est-elle pas à l'origine de véritables politiques culturelles ? N'a-t-elle pas été elle-même une artiste ? Aussi, à force de se raconter et de s'identifier à l'art, n'a-t-elle pas tenté de se construire une mythologie personnelle, afin d'apparaitre telle l'oeuvre de sa galerie ? Faire de l'art une attitude de vie, provoquer, scandaliser, formuler des revendications ambiguës, se jouer des normes, se fier à son instinct plus qu'à la raison, être partout sans limites...
voici les ambitions d'Iris Clert, elle qui affirmait : "j'ai un destin, je suis la messagère des dieux, donc des artistes ! "
voici les ambitions d'Iris Clert, elle qui affirmait : "j'ai un destin, je suis la messagère des dieux, donc des artistes ! "
Cet essai monographique explore la figure inclassable, fantasque, déroutante et emblématique du monde de l'art contemporain des années soixante qu'est Iris Clert. Sa postérité repose sur la place considérable qu'elle a tenue dans la promotion de l'oeuvre d'Yves Klein et dans l'émergence du groupe d'artistes des Nouveaux-Réalistes. Pourtant, Iris Clert n'est-elle pas la première galeriste à avoir proposé au public parisien des oeuvres d'Ad Reinhardt, Lucio Fontana et Leon Golub ? Puis, à force de renouveler et de transgresser les méthodes et pratiques habituellement assignées à sa profession, n'annonce-t-elle pas l'élan pris par l'art vers la participation et l'événementiel ? N'est-elle pas à l'origine de véritables politiques culturelles ? N'a-t-elle pas été elle-même une artiste ? Aussi, à force de se raconter et de s'identifier à l'art, n'a-t-elle pas tenté de se construire une mythologie personnelle, afin d'apparaitre telle l'oeuvre de sa galerie ? Faire de l'art une attitude de vie, provoquer, scandaliser, formuler des revendications ambiguës, se jouer des normes, se fier à son instinct plus qu'à la raison, être partout sans limites...
voici les ambitions d'Iris Clert, elle qui affirmait : "j'ai un destin, je suis la messagère des dieux, donc des artistes ! "
voici les ambitions d'Iris Clert, elle qui affirmait : "j'ai un destin, je suis la messagère des dieux, donc des artistes ! "