Invitation au vivant. Repenser les Lumières à l'âge de l'Anthropocène
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages227
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.27 kg
- Dimensions14,0 cm × 19,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-02-146050-6
- EAN9782021460506
- Date de parution16/09/2021
- CollectionAnthropocène
- ÉditeurSeuil
- TraducteurCyril Le Roy
Résumé
Qu'est-ce que la vie et quel rôle y jouons-nous ? Notre culture héritée des Lumières, tout comme la biologie conventionnelle, ont jusque récemment évité de s'intéresser à la vie dans sa puissance créatrice et signifiante. Toutes deux étaient trop attachées aux catégories de l'individu, de la rationalité et de la concurrence, et concevaient le monde à travers un réductionnisme passant à côté de la vie elle-même.
Mais que se passe-t-il si on repense les organismes, y compris les nôtres, comme des corps sensibles autant que physiques, qui vivent des expériences subjectives et produisent du sens ? Quels nouveaux chemins sont possibles si, en héritant des Lumières mais en les vivifiant par un rapport renouvelé à la biosphère, nous sommes attentifs à nos besoins intérieurs en tant que créatures vivantes ? Quelles relations avons-nous, ou devrions-nous avoir, avec les puissances d'agir des vivants autres qu'humains ? Comment produisons-nous ? Pour nos besoins ou pour le marché? Comment désintoxiquer la biologie de ses métaphores et cadres de pensée hérités de l'industrialisme libéral du XIXe siècle ? Une proposition essentielle pour repenser nos existences terrestres.
Mais que se passe-t-il si on repense les organismes, y compris les nôtres, comme des corps sensibles autant que physiques, qui vivent des expériences subjectives et produisent du sens ? Quels nouveaux chemins sont possibles si, en héritant des Lumières mais en les vivifiant par un rapport renouvelé à la biosphère, nous sommes attentifs à nos besoins intérieurs en tant que créatures vivantes ? Quelles relations avons-nous, ou devrions-nous avoir, avec les puissances d'agir des vivants autres qu'humains ? Comment produisons-nous ? Pour nos besoins ou pour le marché? Comment désintoxiquer la biologie de ses métaphores et cadres de pensée hérités de l'industrialisme libéral du XIXe siècle ? Une proposition essentielle pour repenser nos existences terrestres.
Qu'est-ce que la vie et quel rôle y jouons-nous ? Notre culture héritée des Lumières, tout comme la biologie conventionnelle, ont jusque récemment évité de s'intéresser à la vie dans sa puissance créatrice et signifiante. Toutes deux étaient trop attachées aux catégories de l'individu, de la rationalité et de la concurrence, et concevaient le monde à travers un réductionnisme passant à côté de la vie elle-même.
Mais que se passe-t-il si on repense les organismes, y compris les nôtres, comme des corps sensibles autant que physiques, qui vivent des expériences subjectives et produisent du sens ? Quels nouveaux chemins sont possibles si, en héritant des Lumières mais en les vivifiant par un rapport renouvelé à la biosphère, nous sommes attentifs à nos besoins intérieurs en tant que créatures vivantes ? Quelles relations avons-nous, ou devrions-nous avoir, avec les puissances d'agir des vivants autres qu'humains ? Comment produisons-nous ? Pour nos besoins ou pour le marché? Comment désintoxiquer la biologie de ses métaphores et cadres de pensée hérités de l'industrialisme libéral du XIXe siècle ? Une proposition essentielle pour repenser nos existences terrestres.
Mais que se passe-t-il si on repense les organismes, y compris les nôtres, comme des corps sensibles autant que physiques, qui vivent des expériences subjectives et produisent du sens ? Quels nouveaux chemins sont possibles si, en héritant des Lumières mais en les vivifiant par un rapport renouvelé à la biosphère, nous sommes attentifs à nos besoins intérieurs en tant que créatures vivantes ? Quelles relations avons-nous, ou devrions-nous avoir, avec les puissances d'agir des vivants autres qu'humains ? Comment produisons-nous ? Pour nos besoins ou pour le marché? Comment désintoxiquer la biologie de ses métaphores et cadres de pensée hérités de l'industrialisme libéral du XIXe siècle ? Une proposition essentielle pour repenser nos existences terrestres.