Inventer une économie yin et yang. Témoignage d'une femme de terrain pour un monde plus juste
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- Nombre de pages274
- PrésentationBroché
- Poids0.4 kg
- Dimensions15,0 cm × 22,5 cm × 2,5 cm
- ISBN2-7509-0223-1
- EAN9782750902230
- Date de parution05/10/2006
- ÉditeurPresses de la Renaissance
Résumé
Par son expérience de terrain sur les cinq continents, Marianne de Boisredon nous emmène au cœur de la mondialisation. Son enquête vivante et minutieuse permet à tous de comprendre avec des mots simples les enjeux économiques d'aujourd'hui. Étudiante à Cambridge dans les années 1980 durant la politique monétaire de Margaret Thatcher, alors que son budget souffre de la hausse de la livre sterling, elle prend conscience de l'impact de l'économie sur sa vie.
En Inde, elle expérimente le décalage entre pays développés et pays pauvres et décide alors de s'engager au Chili dans la création d'une banque de microcrédits. Puis, expatriée au Japon et en Chine, elle découvre qu'une économie plus humaine est possible en rééquilibrant le yin (principe féminin) et le yang (principe masculin). L'économie de marché a surtout déployé les forces du yang par la recherche de la rentabilité, la productivité et l'efficacité.
Mais les pathologies nouvelles liées au stress ou la dégradation de l'environnement sont les symptômes d'un excès de yang. Posséder toujours plus a-t-il un sens ? N'y a-t-il pas d'autres formes de richesses ? Les observations de l'auteur sonnent juste et sont pleines de civisme. Mieux qu'un énième traité pour ou contre le capitalisme, ce véritable témoignage redéfinit le rôle de l'économie et sa participation au bonheur humain.
En Inde, elle expérimente le décalage entre pays développés et pays pauvres et décide alors de s'engager au Chili dans la création d'une banque de microcrédits. Puis, expatriée au Japon et en Chine, elle découvre qu'une économie plus humaine est possible en rééquilibrant le yin (principe féminin) et le yang (principe masculin). L'économie de marché a surtout déployé les forces du yang par la recherche de la rentabilité, la productivité et l'efficacité.
Mais les pathologies nouvelles liées au stress ou la dégradation de l'environnement sont les symptômes d'un excès de yang. Posséder toujours plus a-t-il un sens ? N'y a-t-il pas d'autres formes de richesses ? Les observations de l'auteur sonnent juste et sont pleines de civisme. Mieux qu'un énième traité pour ou contre le capitalisme, ce véritable témoignage redéfinit le rôle de l'économie et sa participation au bonheur humain.
Par son expérience de terrain sur les cinq continents, Marianne de Boisredon nous emmène au cœur de la mondialisation. Son enquête vivante et minutieuse permet à tous de comprendre avec des mots simples les enjeux économiques d'aujourd'hui. Étudiante à Cambridge dans les années 1980 durant la politique monétaire de Margaret Thatcher, alors que son budget souffre de la hausse de la livre sterling, elle prend conscience de l'impact de l'économie sur sa vie.
En Inde, elle expérimente le décalage entre pays développés et pays pauvres et décide alors de s'engager au Chili dans la création d'une banque de microcrédits. Puis, expatriée au Japon et en Chine, elle découvre qu'une économie plus humaine est possible en rééquilibrant le yin (principe féminin) et le yang (principe masculin). L'économie de marché a surtout déployé les forces du yang par la recherche de la rentabilité, la productivité et l'efficacité.
Mais les pathologies nouvelles liées au stress ou la dégradation de l'environnement sont les symptômes d'un excès de yang. Posséder toujours plus a-t-il un sens ? N'y a-t-il pas d'autres formes de richesses ? Les observations de l'auteur sonnent juste et sont pleines de civisme. Mieux qu'un énième traité pour ou contre le capitalisme, ce véritable témoignage redéfinit le rôle de l'économie et sa participation au bonheur humain.
En Inde, elle expérimente le décalage entre pays développés et pays pauvres et décide alors de s'engager au Chili dans la création d'une banque de microcrédits. Puis, expatriée au Japon et en Chine, elle découvre qu'une économie plus humaine est possible en rééquilibrant le yin (principe féminin) et le yang (principe masculin). L'économie de marché a surtout déployé les forces du yang par la recherche de la rentabilité, la productivité et l'efficacité.
Mais les pathologies nouvelles liées au stress ou la dégradation de l'environnement sont les symptômes d'un excès de yang. Posséder toujours plus a-t-il un sens ? N'y a-t-il pas d'autres formes de richesses ? Les observations de l'auteur sonnent juste et sont pleines de civisme. Mieux qu'un énième traité pour ou contre le capitalisme, ce véritable témoignage redéfinit le rôle de l'économie et sa participation au bonheur humain.
