Introduction à la pensée juive du Moyen Age
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- Nombre de pages256
- PrésentationBroché
- Poids0.27 kg
- Dimensions20,5 cm × 13,5 cm × 1,6 cm
- ISBN2-7116-8232-3
- EAN9782711682324
- Date de parution01/06/1947
- CollectionEtudes de philosophie médiéval
- ÉditeurVrin
Résumé
A la fin de la période talmudique, la pensée juive a pour matière la révélation biblique, ainsi que toute la loi orale qui la complète et l'interprète. Cette interprétation à ses méthodes propres qui, rigoureuses dans leur genre, ne sont point celles qu'a produites la pensée grecque et codifiées le génie systématique d'un Aristote. La vaste littérature dite rabbinique, consignée dans les recueils un peu chaotiques connus sous le nom de Talmud et Midrash, a créé, en se constituant, une structure mentale spécifique.
Ainsi, le choc qu'éprouva la pensée du type purement talmudique lorsqu'elle se heurta sérieusement à la pensée grecque, même déjà orientalisée, aboutit à créer un type mixte, dont une histoire de la pensée juive au Moyen Age devait exprimer toute la compléxité. Contraint par les circonstances hsitoriques de côtoyer la civilisation musulmane, le judaïsme allait progressivement se laisser infiltrer par certains éléments de provenance platonicienne et aristotélicienne.
La pensée juive se voit alors exprimée par des personnalités composites, dont l'aspect judéo-talmudique est aussi inséparable de l'aspect gréco-rationaliste que la matière de la forme dans l'ancienne métaphysique
Ainsi, le choc qu'éprouva la pensée du type purement talmudique lorsqu'elle se heurta sérieusement à la pensée grecque, même déjà orientalisée, aboutit à créer un type mixte, dont une histoire de la pensée juive au Moyen Age devait exprimer toute la compléxité. Contraint par les circonstances hsitoriques de côtoyer la civilisation musulmane, le judaïsme allait progressivement se laisser infiltrer par certains éléments de provenance platonicienne et aristotélicienne.
La pensée juive se voit alors exprimée par des personnalités composites, dont l'aspect judéo-talmudique est aussi inséparable de l'aspect gréco-rationaliste que la matière de la forme dans l'ancienne métaphysique
A la fin de la période talmudique, la pensée juive a pour matière la révélation biblique, ainsi que toute la loi orale qui la complète et l'interprète. Cette interprétation à ses méthodes propres qui, rigoureuses dans leur genre, ne sont point celles qu'a produites la pensée grecque et codifiées le génie systématique d'un Aristote. La vaste littérature dite rabbinique, consignée dans les recueils un peu chaotiques connus sous le nom de Talmud et Midrash, a créé, en se constituant, une structure mentale spécifique.
Ainsi, le choc qu'éprouva la pensée du type purement talmudique lorsqu'elle se heurta sérieusement à la pensée grecque, même déjà orientalisée, aboutit à créer un type mixte, dont une histoire de la pensée juive au Moyen Age devait exprimer toute la compléxité. Contraint par les circonstances hsitoriques de côtoyer la civilisation musulmane, le judaïsme allait progressivement se laisser infiltrer par certains éléments de provenance platonicienne et aristotélicienne.
La pensée juive se voit alors exprimée par des personnalités composites, dont l'aspect judéo-talmudique est aussi inséparable de l'aspect gréco-rationaliste que la matière de la forme dans l'ancienne métaphysique
Ainsi, le choc qu'éprouva la pensée du type purement talmudique lorsqu'elle se heurta sérieusement à la pensée grecque, même déjà orientalisée, aboutit à créer un type mixte, dont une histoire de la pensée juive au Moyen Age devait exprimer toute la compléxité. Contraint par les circonstances hsitoriques de côtoyer la civilisation musulmane, le judaïsme allait progressivement se laisser infiltrer par certains éléments de provenance platonicienne et aristotélicienne.
La pensée juive se voit alors exprimée par des personnalités composites, dont l'aspect judéo-talmudique est aussi inséparable de l'aspect gréco-rationaliste que la matière de la forme dans l'ancienne métaphysique