Interdisciplinarité sciences biologiques et sciences sociales. Tome 1, Sociobiologie versus socio-écologie. Les enjeux d'un débat en suspens

Par : Sejin Park, Georges Guille-Escuret
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  • Nombre de pages204
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.34 kg
  • Dimensions15,6 cm × 23,5 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-1-78405-304-8
  • EAN9781784053048
  • Date de parution01/01/2017
  • CollectionSciences, société et nouvelles
  • ÉditeurISTE éditions

Résumé

La sociobiologie s'oppose en tant que théorie à la socio-écologie, laquelle désigne une discipline entravée depuis sa naissance. La mise en accusation des intentions idéologiques de la première aura masqué l'obstruction que la domination croissante de l'image du "gène égoïste" faisait subir au nécessaire essor de la seconde. Une terrible force d'inertie a ainsi gelé pendant quarante ans l'analyse globale des interactions socio-écologiques hors du parti pris théorique imposé de l'extérieur aux sciences sociales par la prétendue "écologie comportementale", qui se résume à une simple émanation de la sociobiologie.
Cet ouvrage expose les abus méthodologiques et les légitimations illusoires d'une école dont la stérilité ne peut plus être dissimulée, mais qui s'apprête à changer en remplaçant cyniquement ses lois chancelantes par une récupération à son profit des prouesses récentes de l'épigénétique. Dans Sociobiologie versus socio-écologie, les auteurs mettent en lumière des chemins arbitrairement éludés de l'étude des interactions socio-écologiques.
La sociobiologie s'oppose en tant que théorie à la socio-écologie, laquelle désigne une discipline entravée depuis sa naissance. La mise en accusation des intentions idéologiques de la première aura masqué l'obstruction que la domination croissante de l'image du "gène égoïste" faisait subir au nécessaire essor de la seconde. Une terrible force d'inertie a ainsi gelé pendant quarante ans l'analyse globale des interactions socio-écologiques hors du parti pris théorique imposé de l'extérieur aux sciences sociales par la prétendue "écologie comportementale", qui se résume à une simple émanation de la sociobiologie.
Cet ouvrage expose les abus méthodologiques et les légitimations illusoires d'une école dont la stérilité ne peut plus être dissimulée, mais qui s'apprête à changer en remplaçant cyniquement ses lois chancelantes par une récupération à son profit des prouesses récentes de l'épigénétique. Dans Sociobiologie versus socio-écologie, les auteurs mettent en lumière des chemins arbitrairement éludés de l'étude des interactions socio-écologiques.