Interactions orales en contexte didactique. Mieux (se) comprendre pour mieux (se) parler et pour mieux (s')apprendre

Par : Alain Rabatel

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  • Nombre de pages370
  • PrésentationBroché
  • Poids0.565 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN2-7297-0740-9
  • EAN9782729707408
  • Date de parution11/03/2004
  • Collectioniufm
  • ÉditeurPUL

Résumé

Le langage ne se limite pas à l'enregistrement d'une pensée qui se joue ailleurs et indépendamment de lui, mais, bien au contraire, il est ce qui rend possible cette activité. D'où l'importance de la réflexivité, appréhendée ici à travers l'analyse de paramètres linguistiques (énonciation, syntaxe, lexique) et de variables didactiques (étayage, construction de la tâche). Les articles portent pour l'essentiel sur des séquences orales où la parole est vécue comme une interaction censée produire des effets de toutes sortes, langagiers, gestuels, relationnels, cognitifs. La compréhension est analysée à travers des postures réflexives métalinguistiques, métadiscursives, métacognitives, considérées comme des moments de la co-construction des compétences langagières et des savoirs, mais aussi du savoir-vivre ensemble, à travers la gestion des dissensus. D'où le sous-titre Mieux (se) comprendre pour mieux (se) parler et pour mieux (s')apprendre : les échanges articulent réflexivité et interaction, comme l'indiquent les pronoms entre parenthèses, qui doivent se comprendre comme des pronoms réfléchis (je me parle, je me comprends, je m'apprends) et comme des pronoms réciproques (je te parle, je te comprends, je t'apprends). L'ouvrage s'adresse plus particulièrement aux enseignants chercheurs spécialistes des interactions et de didactique (du français langue maternelle, mais aussi du français langue étrangère), aux formateurs et aux formateurs de formateurs ainsi qu'aux étudiants des deuxième et troisième cycles en Sciences du Langage et en Sciences de l'Éducation.
Le langage ne se limite pas à l'enregistrement d'une pensée qui se joue ailleurs et indépendamment de lui, mais, bien au contraire, il est ce qui rend possible cette activité. D'où l'importance de la réflexivité, appréhendée ici à travers l'analyse de paramètres linguistiques (énonciation, syntaxe, lexique) et de variables didactiques (étayage, construction de la tâche). Les articles portent pour l'essentiel sur des séquences orales où la parole est vécue comme une interaction censée produire des effets de toutes sortes, langagiers, gestuels, relationnels, cognitifs. La compréhension est analysée à travers des postures réflexives métalinguistiques, métadiscursives, métacognitives, considérées comme des moments de la co-construction des compétences langagières et des savoirs, mais aussi du savoir-vivre ensemble, à travers la gestion des dissensus. D'où le sous-titre Mieux (se) comprendre pour mieux (se) parler et pour mieux (s')apprendre : les échanges articulent réflexivité et interaction, comme l'indiquent les pronoms entre parenthèses, qui doivent se comprendre comme des pronoms réfléchis (je me parle, je me comprends, je m'apprends) et comme des pronoms réciproques (je te parle, je te comprends, je t'apprends). L'ouvrage s'adresse plus particulièrement aux enseignants chercheurs spécialistes des interactions et de didactique (du français langue maternelle, mais aussi du français langue étrangère), aux formateurs et aux formateurs de formateurs ainsi qu'aux étudiants des deuxième et troisième cycles en Sciences du Langage et en Sciences de l'Éducation.