Innovation et dynamique discontinue au bas Moyen Age. Pour une autre approche de l'histoire économique
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- Nombre de pages118
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.16 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 0,7 cm
- ISBN978-2-343-19813-2
- EAN9782343198132
- Date de parution19/03/2020
- CollectionL'esprit économique. Krisis
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Histoire économique ? Ni histoire ni théorie économique, mais une discipline à part entière, ce qui suppose une immersion de l'économiste dans l'histoire (ici médiévale) qui insuffle à chaque époque un esprit (technique, économique, social) différent. L'histoire n'est-elle pas mouvement ? Comment l'appréhender ? Comme une ligne droite, une simple suite de faits, ou une ligne brisée, scandée par des ruptures ? N'est-ce pas le neuf, qui provoque une rupture, et entraîne le passage d'un centre de gravité économique donné à un autre ? Le neuf, en économie, c'est l'innovation.
Et, innover, ce n'est pas inventer, mais diffuser une invention dans l'espace, diffusion assurée par un agent économique. Le neuf n'est-il pas à l'origine du mouvement, mais par à-coups ? Même en l'absence de données précises au bas Moyen Age, l'intuition est en mesure de suivre les fluctuations du réel, de déceler le mouvement de l'économie. L'économiste a tenté non de "suivre un chemin", comme les médiévistes, mais de "construire un chemin", comme un agent économique ou un entrepreneur, avec une "combinaison" nouvelle des données du bas Moyen Age.
Et, innover, ce n'est pas inventer, mais diffuser une invention dans l'espace, diffusion assurée par un agent économique. Le neuf n'est-il pas à l'origine du mouvement, mais par à-coups ? Même en l'absence de données précises au bas Moyen Age, l'intuition est en mesure de suivre les fluctuations du réel, de déceler le mouvement de l'économie. L'économiste a tenté non de "suivre un chemin", comme les médiévistes, mais de "construire un chemin", comme un agent économique ou un entrepreneur, avec une "combinaison" nouvelle des données du bas Moyen Age.
Histoire économique ? Ni histoire ni théorie économique, mais une discipline à part entière, ce qui suppose une immersion de l'économiste dans l'histoire (ici médiévale) qui insuffle à chaque époque un esprit (technique, économique, social) différent. L'histoire n'est-elle pas mouvement ? Comment l'appréhender ? Comme une ligne droite, une simple suite de faits, ou une ligne brisée, scandée par des ruptures ? N'est-ce pas le neuf, qui provoque une rupture, et entraîne le passage d'un centre de gravité économique donné à un autre ? Le neuf, en économie, c'est l'innovation.
Et, innover, ce n'est pas inventer, mais diffuser une invention dans l'espace, diffusion assurée par un agent économique. Le neuf n'est-il pas à l'origine du mouvement, mais par à-coups ? Même en l'absence de données précises au bas Moyen Age, l'intuition est en mesure de suivre les fluctuations du réel, de déceler le mouvement de l'économie. L'économiste a tenté non de "suivre un chemin", comme les médiévistes, mais de "construire un chemin", comme un agent économique ou un entrepreneur, avec une "combinaison" nouvelle des données du bas Moyen Age.
Et, innover, ce n'est pas inventer, mais diffuser une invention dans l'espace, diffusion assurée par un agent économique. Le neuf n'est-il pas à l'origine du mouvement, mais par à-coups ? Même en l'absence de données précises au bas Moyen Age, l'intuition est en mesure de suivre les fluctuations du réel, de déceler le mouvement de l'économie. L'économiste a tenté non de "suivre un chemin", comme les médiévistes, mais de "construire un chemin", comme un agent économique ou un entrepreneur, avec une "combinaison" nouvelle des données du bas Moyen Age.